Pendant dix ans, Christophe Cognet a arpenté les camps nazis mais encore les couloirs et réserves des mémoriaux. Son film, Parce que j'étais peintre s'attache à comprendre ce qui poussa certains déportés à dessiner quand l'urgence était à survivre. Faut-il alors parler d' "oeuvres" ou de "témoignages", concernant ces traits fragiles jetés clandestinement sur du papier volé ?
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