
Nina Hoss, de cendres et de feu
VIDEO | 2015, 12' | Dans Phoenix, Nina Hoss est une survivante des camps de concentration cherchant désespéremen...
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Lorsqu’un immigré d’origine tchétchène, ayant subi de terribles sévices, débarque à Hambourg, les services secrets allemands et américains sont en alerte...
Plus de dix ans après les attentats du 11 Septembre 2001, la ville de Hambourg a du mal à se remettre d’avoir abrité une importante cellule terroriste à l’origine des attaques contre le World Trade Center. Lorsqu’un immigré d’origine russo-tchétchène, ayant subi de terribles sévices, débarque dans la communauté musulmane de Hambourg pour récupérer la fortune mal acquise de son père, les services secrets allemands et américains sont en alerte. Une course contre la montre s’engage alors pour identifier cet homme très recherché : s’agit-il d’une victime ou d’un extrémiste aux intentions destructrices ?
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" Plutôt du genre froid et résolu, Anton Corbijn (Control) a trouvé chaussure à son pied en adaptant John Le Carré qui, aux antip
" Plutôt du genre froid et résolu, Anton Corbijn (Control) a trouvé chaussure à son pied en adaptant John Le Carré qui, aux antipodes d’un Ian Fleming, montre que le monde ne se divise pas entre bons et méchants et que les meilleures qualités d’un agent secret sont la patience et une discrétion pouvant aller jusqu’à l’effacement. C’est évidemment un univers qui privilégie les personnages plutôt que l’intrigue (...) Philip Seymour Hoffmann, dans l’un de ses derniers rôles, exprime l’attachement compulsif d’un espion à son étrange métier. De ce point de vue, il est peut-être encore plus fidèle à Le Carré que Gary Oldman dans La Taupe, ce qui n’est pas rien."
Gérard Delorme" Tous les films inspirés par John Le Carré se ressemblent. Mise à part une sophistication plus grande dans la ma
" Tous les films inspirés par John Le Carré se ressemblent. Mise à part une sophistication plus grande dans la manière de surveiller autrui, il y a peu de différences entre L'Espion qui venait du froid, que Martin Ritt tourne en 1966, et l'adaptation par Anton Corbijn d'Un homme très recherché. Même angoisse sourde. Même sens de la dérision chez les héros. Même sens du devoir, aussi, comme si leur patriotisme s'avérait le seul rempart contre un double échec : leur mission et leur vie... Même physiquement, Richard Burton, chez Martin Ritt, et Philip Seymour Hoffman, chez Anton Corbijn, correspondent : lourds, déphasés, alcooliques, cyniques et tristes (...)
Le réalisateur filme une ville automnale et sombre, les taudis où le héros boit avec obstination, ses bureaux qui ressemblent à des bouges, où il travaille avec la même obstination qu'il se soûle. Les êtres qui l'entourent sont beaux — ses deux collaborateurs, le jeune Tchétchène et son avocate — comme si leur beauté était un gage d'innocence dans ce monde sans repères. Pour en conserver un tant soit peu, notre agent se salit les mains, élabore des plans machiavéliques, en déjoue d'autres ; bref, il se démène, il se maintient en vie. On le voit, donc, marcher, s'arrêter, repartir, convaincre l'espionne américaine de lui laisser du temps et le fils de son adversaire de berner son père pour mieux le sauver. Le suspense ne faiblit pas, les scènes d'action restent constamment spectaculaires. Mais ce qui passionne, c'est ce suicidaire, appliqué à se détruire, qui sous nos yeux se défait."
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