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Dans les années 70, en Californie, des jeunes découvrent le skateboard, multiplient les exploits et deviennent riches et célèbres.
Dans les années 70, les rues de Dogtown, un quartier de Venice, en Californie, sont le territoire d'un groupe de jeunes qui, pour la première fois, transposent les plus spectaculaires mouvements du surf sur le béton, grâce au skateboard. En peu de temps, les Z-Boys deviennent des légendes. Véritables magiciens du skateboard, ils sont à l'origine des sports extrêmes d'aujourd'hui. Les compétitions se les arrachent, les filles leur tombent dans les bras. Soudain, tout le monde les veut, le sport, le marketing, la pub... Mais dans ce tourbillon qui voit une passion devenir un business et des ados se transformer en stars, que vont devenir la flamme, la passion, et l'amitié qui les unissent ?
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"Il est des films qui parlent à une génération entière. Il en est d’autres qui parlent de ces g&eacut
"Il est des films qui parlent à une génération entière. Il en est d’autres qui parlent de ces générations. Et Les Seigneurs de Dogtown fait incontestablement partie de ces deux entités à la fois. Entre biographie scénarisée et pamphlet nostalgique sur la naissance d’un art de vivre, la réalisatrice Catherine Hardwicke (Thirteen, 2003), promène sa caméra épaule le long de cet incroyable conte social, où se mêlent aussi les destinées sentimentales et amicales d’une bande de jeunes prêts à tout pour prouver leur existence à un monde qui leur est étranger. Et les exploits de ces trois étoiles (Stacy Peralta, Tony Alva et Jay Adams) de devenir, presque malgré eux, ce mouvement urbain qui connaît encore à l’heure actuelle un engouement plus que certain. Mais au-delà de toute considération moderne sur cette contre-culture, Hardwicke, en défenseuse de la force de l’innocence, prouve à travers ses cadres magiques qu’en plus d’avoir inventé ce fameux mouvement du skateboard, ces trois jeunes gens sont devenus des icônes intemporelles, symboles d’un certain anticonformisme. Les prouesses physiques en métaphore du dépassement de soi et du rejet de la fatalité ont libéré une conscience populaire. Accompagné d’une bande son de circonstance, le film capture ainsi l’essentiel de son propos, et les multiples axes de caméra, toutefois loin d’êtres hystériques ou expérimentaux, ne font que renforcer le lyrisme latent et la mélancolie génératrice de cette histoire simple mais pas commune."
Christophe Chenallet"Les seigneurs de Dogtown est un film de mecs, mis en scène par une femme, Catherine Hardwicke, réalisatrice du remarqu&
"Les seigneurs de Dogtown est un film de mecs, mis en scène par une femme, Catherine Hardwicke, réalisatrice du remarqué Thirteen. Car quoi de plus viril et à la limite du ridicule masculin, que le milieu des sports de glisse, aux amitiés et rivalités aussi musclées que bourrées de règles immatures et libertaires. Les codes de ce milieu avaient déjà été épluchés par une autre réalisatrice, Katrin Biogelow, avec son Point Break, ce qui une nouvelle fois le cas ici avec la peinture d’une bande de jeunes, sous l’influence de leurs mentors, passeurs de relais de la culture glisse.
Mais l’aspect le plus intéressant du film, est certainement la dissection du basculement de ce sport, à l’idéal marqué et rebelle (ils allaient surfer en planche à roulette dans les piscines des riches californiens), dans l’univers marchand et donc dans une dimension commerciale. Les personnages dont la ringardise sautera au visage de ceux qui n’affectionnent pas ces milieux, partent alors chacun dans une direction différente, trahissant partiellement au moins leurs idéaux et amitiés de départ. Une trame classique me direz vous. Mais une histoire humaine, qui trouve un dénouement réel et bouleversant, autour du plus fragile des personnages, celui que ses problèmes d’oreille interne rendent vulnérable. La naissance d’un mouvement qui ne sera jamais totalement accaparé par la société de consommation, puisque né dans la rue."
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