Navigateur non compatible. Veuillez utiliser un navigateur récent
Disponible dans l'offre d'abonnement
Disponible dans l'offre d'abonnement
Frédi perd sa mère. Mais elle lui a transmis un don. Il ne veut pas en entendre parler mais il est contraint, forcé de reconnaître que ses mains guérissent…
Frédi a perdu sa mère. Cette dernière lui a transmis un don, dont il ne veut pas entendre parler. Mais il se trouve peu à peu contraint de reconnaître que ses mains guérissent... Il s'interroge. D'où vient ce don ? Qu'importe, il l'accepte ...
Le lecteur n'est pas installé ?
Pour votre information, la lecture en mode hors-ligne n'est pas compatible avec le système d'exploitation Linux
" Frédi, c’est l’acteur Grégory Gadebois, au-delà du sensationnel dans sa façon de jouer qu&rs
" Frédi, c’est l’acteur Grégory Gadebois, au-delà du sensationnel dans sa façon de jouer qu’il ne joue pas. Les quelques scènes où il va aux putes, ou plutôt à la pute, belle brune qui tapine en camionnette, sont un modèle de tendresse humaine.
Autour de ce soleil, Dupeyron fait graviter d’autres planètes, dont Marie Payen et Céline Sallette, elles aussi idoines en femmes «modernes», c’est-à-dire aux abois des hommes, des enfants, des combines foireuses et des arrangements pourris. Parfois, comme des coups, les gros mots fusent, et les beignes. Mais il n’y a pas que Frédi pour s’excuser. Les images (d’Yves Angelo) aussi qui, sans donner dans le poster social, genre «couché de soleil sur les pauvres», cadrent un paysage français massacré par les bricolages de l’urbanisme périphérique, tout en suggérant qu’entre les gouttes d’acide, il y aura toujours un recoin où construire son cabanon, faire griller des saucisses, s’aimer. Bref, se tenir en retrait sans pour autant sonner la retraite."
" Donc, avec ses plans au plus près des visages, François Dupeyron contemple son héros, cet autre lui-même,
" Donc, avec ses plans au plus près des visages, François Dupeyron contemple son héros, cet autre lui-même, contempler la douleur des autres. La mère de l'enfant accidenté qui, pour ne plus voir sa souffrance, souhaite sa mort et s'en veut. Et l'amie (Marie Payet) qui lui hurle, en même temps que sa frustration, un amour secret qu'il ne peut partager... Comme John Huston, Dupeyron ne sait, ne veut filmer que des égarés magnifiques, des perdants, des aventuriers ratés. Des réfractaires à ce Dieu qu'ils vomissent, dont ils attendent un signe qui ne vient jamais — à moins qu'ils ne sachent pas voir. "J'ai rêvé que le ciel me regardait, et j'ai peur", dit Frédi. Mais il filme, aussi, entre ces cabossés persuadés d'être inguérissables, des liens qui, parce qu'ils les ont tissés dans la peine, risquent de tenir bon. Mon âme par toi guérie n'est rien d'autre, en fait, que l'histoire, romanesque et banale, d'un amour qui se fait."
Pierre Murat" François Dupeyron pose des questions essentielles dans ce film sur soi, le don de soi, l’amour de l’autre. Avec un
" Dans la filmographie de l'auteur de Drôle d'endroit pour une rencontre, le prototype côtoie la tradition. Mo
" Dans la filmographie de l'auteur de Drôle d'endroit pour une rencontre, le prototype côtoie la tradition. Mon âme par toi guérie réussit à confirmer cette sensation d'hétérogénéité, mais, cette fois-ci, à l'intérieur de son récit lui-même, comme si son réalisateur refusait d'être enfermé dans un genre précis. Si le film semble se raccrocher à une tradition naturaliste bien française, c'est pour en réinterroger les principes mêmes et la transcender."
Jean-François Rauger" Gadebois était fait pour ce rôle. Personne ne sait comme lui transporter des yeux d’enfant dans un corps d’a
" Gadebois était fait pour ce rôle. Personne ne sait comme lui transporter des yeux d’enfant dans un corps d’adulte. Ni poser ses mains sur une peau sans qu’on en ressente soi-même la chaleur. Tous les personnages, à commencer par Nina — magnifique Céline Sallette — sont aux prises avec leurs démons. Signée Yves Angelo, star des directeurs de la photographie, l’image vient comme un baume, un réconfort, les envelopper à fleur de peau de la lumière qu’ils méritent."
Pierre VavasseurNos offres d'abonnement
BASIQUE ETUDIANTS
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 4,99€ /mois
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 6,99€ /mois
PREMIUM
9 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
15 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
*A l'exception des films signalés
BASIQUE ETUDIANTS
49 | ,99€ |
/an |
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
69 | ,99€ |
pour 1 an |
PREMIUM
99 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
175 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
Vous devrez fournir un justificatif de scolarité (carte étudiante ou certificat, en .pdf ou .jpg).
UniversCiné se réserve le droit d'annuler l'abonnement sans possibilité de remboursement si la pièce
jointe envoyée n'est pas conforme.
Offre valable 12 mois à partir de la date de l'abonnement
_TITLE