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Alors que Téhéran bat le pavé au lendemain d'une élection usurpée, un homme et une femme relaient la révolte à l'extérieur et apprennent à s'aimer.
Téhéran, juin 2009, au lendemain de l’élection présidentielle usurpée. Le tumulte d’une ville qui tangue sous la « Vague verte » de contestation. Un appartement comme lieu de refuge. Un homme et une femme de deux générations différentes. Un téléphone portable et un ordinateur pour relayer les nouvelles de la révolte. Une histoire d’amour qui bouleversera le cours de deux existences.
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" Dans Red Rose, la réalisatrice iranienne Sepideh Farsi mêle avec inventivité le désir et la révolu
" Dans Red Rose, la réalisatrice iranienne Sepideh Farsi mêle avec inventivité le désir et la révolution, franchissant à dessein les lignes rouges qui entravent la représentation dans son pays. (...) Sepideh Farsi maintiendra son film dans les limites d’un huis clos sur lequel pèsera en permanence la tragédie du dehors. Elle s’incarnera dans ce que vit la jeune femme entre les visites aléatoires qu’elle rendra à Ali, par les messages qu’elle échangera sous pseudonyme avec ses camarades de combat malgré la traque que mènent sur Internet les services secrets. Derrière la fenêtre, le grondement des pales d’hélicoptères viendra renforcer la perception de la véritable guerre qu’a livrée le régime contre les opposants. Entre Ali et Sara, l’amour physique est un vertige, un manège alternant l’abandon de la sensualité et l’inaccessible mystère de l’autre.
(...) Sepideh Farsi fait preuve d’une belle inventivité cinématographique sur cette trame qui embrasse l’espace et le temps entre quatre murs, sans autre progression narrative. Ce qui la termine ne peut donc s’entendre comme un dénouement. Les dernières séquences interviennent telle une déflagration où s’exposent les fragments de l’actuel régime de fer qui sévit en Iran."
" Le dispositif de départ est dynamisé par un découpage elliptique, un sens du cadre rigoureux qui file adroitemen
" Le dispositif de départ est dynamisé par un découpage elliptique, un sens du cadre rigoureux qui file adroitement la métaphore (...), une bande-son saisissante réhaussée par la partition d'Ibrahim Maalouf, des dialogues à l'ironie corrosive et une direction d'acteurs d'une grande justesse. "
Yann Tobin"De toutes les lignes rouges que les cinéastes iraniens doivent respecter, les plus infranchissables sont le sexe et la religio
"De toutes les lignes rouges que les cinéastes iraniens doivent respecter, les plus infranchissables sont le sexe et la religion. Elles vont souvent de pair, ce n’est d’ailleurs pas propre à l’Iran mais à l’ensemble du monde musulman. En montrant des corps nus et des scènes d’amour explicites, servies par des mots crus, en désignant les mollahs comme les oppresseurs de la jeunesse et en mettant en scène le soulèvement d’une partie de Téhéran après l’élection de Mahmoud Ahmadinejad, la jeune réalisatrice Sepideh Farsi a délibérément brisé tous les tabous.
(...) Red Rose est d’abord l’exploration du fossé séparant deux générations, deux contestations, deux façons radicales d’envisager le monde. Celle d’hier croyait à la force des livres et des idéologies, celle d’aujourd’hui ne lit pas et ne jure que par Twitter. Elles ne font donc pas la révolution de la même manière. (...) En revanche, leurs adversaires n’ont pas changé. Ils communient toujours dans les mêmes valeurs. Ce sont donc eux qui gagneront.
La cinéaste, pour engagée qu’elle soit, a l’honnêteté de souligner que la révolte de 2009 fut surtout celle des beaux quartiers, et que « l’Iran d’en bas » (à Téhéran, les classes aisées vivent sur les hauteurs), celui des femmes qui viennent en tchador noir, sans la moindre mèche qui dépasse, faire le ménage chez les riches, n’ont pas bougé, contrairement à la révolution précédente.
Film politique porté jusqu’à l’incandescence en dépit d’une fin assez maladroite, Red Rose, avec sa charge violente contre les religieux, n’hésite devant aucun risque. Et fait paraître bien mièvre une bonne partie de la production cinématographique iranienne actuelle."
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