
Le "giallo" : La pulsion de mort du cinéma italien
En France, il y a la Série Noire. "La Noire" pour les affranchis. En Italie, on dit "giallo" car telle est la co...
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Témoin d'une tentative de meurtre dans une galerie d'art romaine, un journaliste décide de mener l'enquête et recherche l'identité du mystérieux agresseur.
Sam est un journaliste-écrivain venu des États-Unis pour trouver l'inspiration à Rome. Un soir, alors qu'il se promène dans les rues désertiques de la capitale, il devient le témoin d'une agression dans une galerie d'art. La police est suspicieuse et lui confisque ses papiers. Mais alors que d'autres meurtres sont commis, il décide lui aussi de mener son enquête.
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Il faut voir le premier film d’Argento, certes inégal, pour ses morceaux de bravoure et son caractère de programme de to
On peut envisager L'Oiseau au plumage de cristal comme prenant le contre-pied du Blow-up d'Antonioni : dans Blow-Up, on d&eacut
On peut envisager L'Oiseau au plumage de cristal comme prenant le contre-pied du Blow-up d'Antonioni : dans Blow-Up, on découvrait un meurtre à cause d'un détail minuscule qui aurait dû demeurer invisible ; dans L'Oiseau au plumage de cristal, on découvre le meurtrier en tentant d'organiser l'excès de détails, le trop-plein de choses vues en pleine lumière. Idée qu'il fallait avoir et qui est bien réalisée. On peut parfois reprocher à Dario Argento de trouver son inspiration chez les autres mais même lorsque c'est le cas, le résultat demeure toujours dialectiquement concerté et intelligen.
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