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Placé par mesure de protection dans une famille d’accueil, Marco, 11 ans, fugue pour retrouver le camp gitan qui l’a vu naître...
Placé dans une famille d’accueil, Marco, 11 ans, fugue pour retrouver le camp gitan qui l’a vu naître. Avec son cousin Tony, il rêve de faire fortune avec les combats de coqs. En attendant, il fait les quatre cents coups avec ses amis Coyote et Rachitique. Très vite, le trio inconscient passe du vol de scooter au cambriolage… Marco ne souhaite qu’une chose : trouver sa place.
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"Avant de donner son premier tour de manivelle, Karim Dridi a passé beaucoup de temps avec les gamins gitans, fantastiques acteurs naturels
"Avant de donner son premier tour de manivelle, Karim Dridi a passé beaucoup de temps avec les gamins gitans, fantastiques acteurs naturels de son film, de même qu’il a longuement rencontré les différents acteurs sociaux gravitant autour de la communauté gitane (instituteurs, éducateurs, pédopsychiatres, etc.). Il a d’ailleurs tenu un très intéressant blog de tournage pendant plusieurs mois sur le site Rue89."
"Karim Dridi a une empathie évidente pour ses gamins, mais il montre aussi leur violence, leurs fourvoiements, leurs combines, leurs trahisons. Il filme des situations et des actions pas toujours admirables, mais en faisant sentir qu’elles sont l’ultime recours de ceux qui n’ont rien. Il montre sans rien démontrer. On hésite à sortir de trop grosses références par crainte d’écraser le film, mais c’est bien du côté du Pasolini d’Accatone, du Renoir de Toni ou du Buñuel de Los Olvidados que Khamsa semble avoir germé. On ne sait si Karim Dridi a puisé des forces dans l’âpreté solaire de ce cinéma ou si la réalité gitane marseillaise lui a suffi, mais il a réalisé là un authentique et puissant film populaire."
"Khamsa, le personnage, se débat pour remonter le cours de cette dérive sans fin. D'abord parce qu'il est un exclu parmi les exclus, de par
"Khamsa, le personnage, se débat pour remonter le cours de cette dérive sans fin. D'abord parce qu'il est un exclu parmi les exclus, de par son héritage algérien, ensuite parce qu'il est peut-être plus énergique, plus dur que ses camarades, Tony, le nain, qui rêve de vivre de combats de coqs, ou Rachitique, le fils d'un maçon rendu infirme par un accident du travail, qui se verrait bien en grand truand."
"De la course folle de son personnage, qui doit toujours choisir entre deux maux dont jamais l'un n'est moindre, Karim Dridi fait une espèce de complainte. Il filme avec lyrisme Marseille, les beaux quartiers où l'on va faire de mauvais coups, les cités sinistres, les bas-fonds. Il prête à ses personnages juste l'attention qu'il faut, faite de respect et de parfaite lucidité. Les dialogues - surtout ceux entre les enfants - écorchent les oreilles par leur brutalité. Cette sensation d'être tout près des personnages tient aussi bien à la qualité de la mise en scène, qui en fait des figures de cinéma, à l'aise sur l'écran large (le film est tourné en Scope), qu'à celle de la direction de ces acteurs non professionnels. On voudrait parfois que Dridi ménage une pause, qu'il arrête d'appuyer là où ça fait mal, comme ça doit arriver parfois, même dans la vie d'un métis de Gitan et d'Algérienne en cavale. Mais si jamais Khamsa, le film, ne relâche la pression, c'est qu'il y avait urgence à ce qu'il soit fait ; il y a aussi urgence à aller le voir."
"Karim Dridi montre la vie à l'état brut, l'énergie et la grâce de ces enfants, leurs plongeons téméraires dans les eaux du chantier naval d
"Karim Dridi montre la vie à l'état brut, l'énergie et la grâce de ces enfants, leurs plongeons téméraires dans les eaux du chantier naval de l'Estaque. Les combats de coqs, les parties de cartes, l'ivresse d'une virée en scooter, la verve extraordinaire des dialogues : tout ici sonne juste."
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