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1927. Le cinéma parlant plonge dans l'oubli Georges, sa plus grande star. Reste l'amour... Après le triomphe à Cannes, et 6 César, un Oscar pour Jean Dujardin.
Hollywood 1927. George Valentin est une vedette du cinéma muet à qui tout sourit. L'arrivée des films parlants va le faire sombrer dans l'oubli. Peppy Miller, jeune figurante, va elle, être propulsée au firmament des stars. Ce film raconte l'histoire de leurs destins croisés, ou comment la célébrité, l'orgueil et l'argent peuvent être autant d'obstacles à leur histoire d'amour. L'auteur des parodies de OSS 117 retrouve Dujardin pour un hommage classieux au grand cinéma des origines. Après son triomphe à Cannes, "The Artist" a remporté six César (dont Meilleur film et Meilleure actrice) et un Oscar historique du meilleur acteur pour Jean Dujardin (une première pour un Français !).
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" The Artist redonne ses lettres de noblesse à un genre démodé – le mélo – et nous replonge dans l’époque mythique de l’âge d’or hollywoodie
" The Artist redonne ses lettres de noblesse à un genre démodé – le mélo – et nous replonge dans l’époque mythique de l’âge d’or hollywoodien. Il comble ainsi à la fois l’attente des cinéphiles et celle des nostalgiques des grands films populaires qui, en faisant appel à la sensibilité et à l’intelligence des spectateurs, ne les prennent pas pour des cons. Pour cela, Hazanavicius s’est reposé sur trois piliers : un scénario simple et lumineux (entre Chantons sous la pluie et Une étoile est née), une esthétique irréprochable et un casting de choc. Ils ne sont pas si nombreux, les films français à pouvoir revendiquer autant de qualités et d’ambition à tous les stades de la production. Rêvons d’un cinéma hexagonal dont The Artist serait le mètre étalon..."
Christophe Narbonne" Oubliez donc le défi du "film muet en noir et blanc" qui ne dit en rien ce qu’est The Artist : un vrai mélo, drôle, bouleversant, innervé
" Oubliez donc le défi du "film muet en noir et blanc" qui ne dit en rien ce qu’est The Artist : un vrai mélo, drôle, bouleversant, innervé par une cinéphilie généreuse. Du cinoche populaire au sens le plus noble, chaplinesque, du terme. (...) The Artist est un film à la manière d’hier mais bien d’aujourd’hui, qui renoue avec l’essence du langage cinématographique – l’expression des corps et des images – avec un art au summum de sa force poétique et émotionnelle pour raconter le sauvetage d’un homme par le regard d’une femme. Michel Hazanavicius (OSS 117) y dénude son amour du cinéma, le déshabille de ses oripeaux fétichistes, de son penchant pour le pastiche et signe un film d’amour tout court. Beau geste."
Nicolas Schaller" Pari fou, voire un brin désuet sur le papier, The Artist dépasse vite l’hommage cinéphile pour se transformer en vrai beau film dramatique
" ... entre Chantons sous la pluie et Une étoile est née. Comme son héros, The Artist est une mosaïque de références, assemblée avec une te
" ... entre Chantons sous la pluie et Une étoile est née. Comme son héros, The Artist est une mosaïque de références, assemblée avec une tendresse érudite : le noir et blanc soyeux rappelle plus les années 1940 que la granuleuse ère du muet. Et lorsque Bérénice Bejo mime une étreinte, à moitié lovée dans le manteau suspendu de Valentin, la poésie de Chaplin n'est pas loin. Un des innombrables clins d'oeil et emprunts au burlesque et au mélo, à Orson Welles, à Fritz Lang ou à Lubitsch.
Cette déclaration d'amour au grand cinéma hollywoodien raconte un irréversible bouleversement technologique et artistique (...) Hazanavicius interroge la notion de modernité. Les nouveaux mondes qu'elle ouvre, mais aussi tous ceux qu'elle ferme à jamais. Une scène de cauchemar, peut-être la plus belle, en dit long : le son y fait une irruption brève et brutale. Bruit d'un verre qu'on pose, bourdonnement du studio de tournage. Le héros, lui, reste désespérément aphone. Désormais exclu, obsolète, réduit au véritable silence : l'oubli. L'angoisse de l'artiste par excellence."
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