UniversCiné utilise des cookies afin de vous offrir une expérience utilisateur optimale.
En les acceptant vous nous permettez d’améliorer nos services, de mesurer notre audience, de personnaliser votre expérience et vous pourrez bénéficier des fonctionnalités relatives aux réseaux sociaux.
Vous pouvez personnaliser vos choix en cliquant sur « PERSONNALISER » et obtenir davantage d'informations en consultant notre politique de gestion des cookies.
This is a modal window.
Début de la fenêtre de dialogue. La touche d'échappement annulera et fermera la fenêtre.
Fin de la fenêtre de dialogue.
Ibrahim, Suleiman, Manar et Altayeb, cinéastes idéalistes, sillonnent les routes du Soudan pour projeter des films en évitant la censure du pouvoir...
Ibrahim, Suleiman, Manar et Altayeb, cinéastes facétieux et idéalistes, sillonnent dans un van les routes du Soudan pour projeter des films en évitant la censure du pouvoir. Ces quatre amis de toujours se mettent à rêver d’organiser une grande projection publique dans la capitale Khartoum et de rénover une salle de cinéma à l’abandon. Son nom ? La Révolution...
Le lecteur n'est pas installé ?
Pour votre information, la lecture en mode hors-ligne n'est pas compatible avec le système d'exploitation Linux
"C’est une de ces histoires bigger than life difficiles à raconter en fiction par peur d’en faire trop. Le
"C’est une de ces histoires bigger than life difficiles à raconter en fiction par peur d’en faire trop. Le combat de quatre papys facétieux et idéalistes, quatre réalisateurs soudanais ayant quitté leur pays dans les années 60 pour étudier à l’étranger qui se sont mis en tête de faire revenir le cinéma au Soudan, dépourvu de toute salle. Ce docu raconte cette aventure héroïque sur fond de combat larvé avec un régime dictatorial islamiste (dont on voit le président al-Bashir – renversé depuis – réélu avec 94 % de voix) peu connu pour son appétence pour les arts. Et puis, soudain, sur une toile installée dans un village, surgit Les Temps modernes. Enfants et adultes rient de concert. Mais pour cela, combien d’autorisations à mendier, combien de petits et gros tracas résolus par un sens aigu de la débrouillardise et combien de risques pris. Un beau film poétique et politique."
Thierry Chèze"Ce quatuor de septua et octogénaires vit et travaille à Khartoum, capitale du Soudan. Ils sont assez vieux pour avoir vu
"Ce quatuor de septua et octogénaires vit et travaille à Khartoum, capitale du Soudan. Ils sont assez vieux pour avoir vu Sunset Boulevard (1950) à sa sortie, pour se souvenir du temps de la colonie britannique, des espoirs de l’indépendance, des coups d’Etat, dont le dernier en date au moment du tournage, celui d’Omar Al-Bachir, en 1989. Le cinéma compte parmi les victimes du putsch. Ibrahim Shaddad (c’est lui qui prend la place de Gloria Swanson dans le remake improvisé du film de Billy Wilder), Suliman Ibrahim, Eltayeb Mahdi, Manar Al-Hilo réalisaient des films avant que l’alliance de l’armée et du clergé ne prenne le pouvoir. Menacés, arrêtés et torturés pour certains d’entre eux, ils ont été contraints à l’exil avant de revenir chez eux, à Khartoum, où ils ont formé le Sudanese Film Group (SFG) dont la raison sociale se résume à peu près ainsi : « rester cinéaste quand on est empêché de faire des films ». Ces drôles de vestales s’y emploient avec une persévérance et une humilité étonnantes."
Thomas Sotinel"Véritable déclaration d’amour au cinéma, ce film documentaire est un sommet d’optimisme mais é
"Véritable déclaration d’amour au cinéma, ce film documentaire est un sommet d’optimisme mais également un précis d’amitié. Vous allez adorer ces héros très discrets, papys qui font de la résistance comme les enfants construisent des châteaux de sable.
Du Soudan, il faut bien reconnaître qu’on ne sait pas grand chose, à peine cité par sa capitale et la guerre du Darfour. Et ce n’est pas le cinéma qui nous a transmis beaucoup de nouvelles du pays ces dernières années. Étouffée depuis 30 ans sous la dictature du président/dictateur Omar el-Béchir (renversé cette année par un coup d’état militaire), la production cinématographique est exsangue. Dans ce contexte, le documentaire de Suhaib Gasmelbari est un événement. Les protagonistes qu’il a choisi de suivre sont cinéastes ou producteurs. Ils ont fondé le Sudanese Film Group, ciné club ambulant. Ils sont aussi amis de longue date. Certains se sont exilés pour étudier, travailler ou tout simplement fuir la dictature mais tous sont revenus au pays et se sont retrouvés pour monter cette association de bienfaiteurs. "
Nos offres d'abonnement
BASIQUE ETUDIANTS
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 4,99€ /mois
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 6,99€ /mois
PREMIUM
9 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
15 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
*A l'exception des films signalés
BASIQUE ETUDIANTS
49 | ,99€ |
/an |
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
69 | ,99€ |
pour 1 an |
PREMIUM
99 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
175 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
Vous devrez fournir un justificatif de scolarité (carte étudiante ou certificat, en .pdf ou .jpg).
UniversCiné se réserve le droit d'annuler l'abonnement sans possibilité de remboursement si la pièce
jointe envoyée n'est pas conforme.
Offre valable 12 mois à partir de la date de l'abonnement
_TITLE