
Cannes 2013 — "Jeune et jolie" de François Ozon, premier film français en compétition
Après le labyrinthique Dans la maison, le cinéaste offre le portrait simple d'une jeune fille tentée par la pros...
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Katie, mère célibataire ordinaire, rencontre Paco, un ouvrier ordinaire. Une histoire d'amour éclot et de leur union nait Ricky, un bébé extraordinaire...
Katie est une mère célibataire ordinaire qui peine à subvenir aux besoins de sa fille, jusqu'au jour où elle rencontre Paco, un homme tout aussi ordinaire avec qui elle reprend goût à la vie. Leur histoire va vite, peut-être trop. Alors quand, de leur union, nait Ricky, un bébé différent, les choses se compliquent entre eux. Comment faire face à l'extraordinaire quand on n'y est pas préparé ?
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" Si le mélange des genres n’est pas toujours fluide, si la crédibilité des situations s’avère
" Si le mélange des genres n’est pas toujours fluide, si la crédibilité des situations s’avère fluctuante, on ne peut que saluer l’imagination et le culot d’Ozon qui… ose des choses inhabituelles dans le cinéma français. Il se montre ici particulièrement habile à révéler tous les non-dits, malaises ou blessures affectives (mais aussi les élans) pouvant mijoter au sein d’une cellule familiale, pétant parfois à la gueule des uns ou des autres.
Il traite ses personnages avec complexité, chacun peinant à trouver sa place et faisant souffrir l’autre, mais chacun ayant ses raisons. Il est capable de montrer en un seul plan l’angoisse de l’abandon que tout enfant a pu ressentir au moins une fois. Sans juger personne, il montre qu’il n’y a pas de mode d’emploi pour être un bon parent, que l’on étreint souvent trop ou pas assez, et que le métier d’enfant est parfois difficile. "
" ... déstabilisant (...) mais on ne cesse d'y repenser (...) Avec cette formidable allégorie sur la différenc
" ... déstabilisant (...) mais on ne cesse d'y repenser (...) Avec cette formidable allégorie sur la différence, François Ozon en profite pour aborder la famille sous l'angle du fantastique poétique. Il y a du David Lynch ou du Cronenberg dans Ricky… l'espoir et la douceur en plus."
Olivier Delcroix" Adapté d'une nouvelle de Rose Trémain (Moth, éditions Plon), le film poétise le cordon ombilical, co
" Adapté d'une nouvelle de Rose Trémain (Moth, éditions Plon), le film poétise le cordon ombilical, confond le bambin avec une phalène, un être surgi d'un monde magique, parallèle, déboussolant. Il oppose la perception maternelle à celles de la raison scientifique (l'hôpital) et de la curiosité malsaine (le voyeurisme des médias). Souligne le rôle de l'enfant comme ferment du couple, après avoir été, dans un premier temps, facteur de déséquilibre et de perturbation.
On touche à des choses qui travaillent François Ozon : le rapport entre la mère et l'enfant (Regarde la mer), la famille qui disjoncte (Sitcom), le refus d'une inéluctable séparation (Sous le sable), le couple disséqué au scalpel (5×2), le choix d'un destin romanesque (Angel). (...) Clé et morale de cette histoire, la réflexion éclaire d'un jour nouveau l'oeuvre d'un cinéaste qui s'était appliqué à apparaître comme un subversif."
" La grande force de Ricky tient surtout au fait qu’il gagne en densité sans se lester de grandiloquence, fidèle &a
" La grande force de Ricky tient surtout au fait qu’il gagne en densité sans se lester de grandiloquence, fidèle à son credo de micro-film dopé au confinement et à la miniaturisation. De la baby star au décor - une usine, une chambre d’enfant, un clic-clac - tout est maîtrisable, tracé en un plan ou deux. En résulte une légèreté vivifiante, un surplus de contrôle qui transforme chaque tour de force en numéros gracieux et dégraissés. (...) Du rarement vu dans l’univers ankylosé du cinéma français."
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