
Maria de Medeiros : "Un projet qui cassait toutes les normes"
VIDEO | 2009, 8' | Avec Pulp Fiction, l'actrice, qui a débuté sa carrière en Europe et dans le cinéma d'auteur à...
UniversCiné utilise des cookies afin de vous offrir une expérience utilisateur optimale.
En les acceptant vous nous permettez d’améliorer nos services, de mesurer notre audience, de personnaliser votre expérience et vous pourrez bénéficier des fonctionnalités relatives aux réseaux sociaux.
Vous pouvez personnaliser vos choix en cliquant sur « PERSONNALISER » et obtenir davantage d'informations en consultant notre politique de gestion des cookies.
This is a modal window.
Début de la fenêtre de dialogue. La touche d'échappement annulera et fermera la fenêtre.
Fin de la fenêtre de dialogue.
Tarantino dans toute sa splendeur, trash et sophistiqué, à travers les histoires entremêlées de petits malfrats dans la jungle d'Hollywood. Palme d'or.
L'odyssée sanglante et burlesque de petits malfrats dans la jungle d’Hollywood à travers trois histoires qui s'entremêlent... Après le choc "Reservoir Dogs", Tarantino imposait son style à la fois trash et sophistiqué, fait d'emprunts, de dérision et d'amour barge à toute la "contre culture". Il orchestre ici le retour flamboyant du "has been" Travolta, rase le crâne de l'un des héros préféré des Américains (Bruce Willis), s'offre des tunnels de dialogues à faire cauchemarder les producteurs d'Hollywood, manie les flingues et les seringues avec la même dextérité que les dialogues absurdes... Résultat : "Pulp Fiction" est sifflé à Cannes, remporte la Palme d'or et devient instantanément un film de référence.
Le lecteur n'est pas installé ?
Pour votre information, la lecture en mode hors-ligne n'est pas compatible avec le système d'exploitation Linux
"Il n'y a pas de héros dans Pulp Fiction, mais une flopée de seconds rôles comme si Tarantino poussait à fond la principale qualité du genre
"Il n'y a pas de héros dans Pulp Fiction, mais une flopée de seconds rôles comme si Tarantino poussait à fond la principale qualité du genre, la galerie de portraits et de losers. Cela permet aux acteurs de s'en donner à coeur joie, de se libérer totlement dans des rôles de composition très éloignés de leur registre habituel. C'est un vrai plaisir de voir enfin Bruce Willis abandonner ses grimaces de surhomme pour celles du raté complet. Mais c'est surtout Travolta qui emporte le morceau, grandiose de regard bovin et d'allure avachie, jusque dans une scène délirante d'autoparodie qui ravira tous ceux en âge de se souvenir des ravages de La Fièvre du samedi soir."
Marc Weitzmann"Avec trois bouts d'histoire, Tarantino fait un film d'une irrésistible drôlerie. Violent, mais d'une violence surréelle, désamorcée par le
" ... Et si ce film décoiffant, à l'invention visuelle constante, à la direction d'acteurs survoltée et toujours surprenante , aux dialogue
" ... Et si ce film décoiffant, à l'invention visuelle constante, à la direction d'acteurs survoltée et toujours surprenante , aux dialogues brillants dans leur parti pris d'aller jusqu'au bout d'une donnée initiale, à la construction diabolique, n'était pas le En quatrième vitesse (qui en fit grimacer plus d'un il y a quarante ans) des années quatre-vingt dix ? Nul doute que c'est à l'audace de Tarantino, à son jaillissement créatif et à son désir d'explorer les limites de son matériau que le jury a voulu donner la Palme d'or (...)
On a pu dire que le film n'avait pas de sujet. Aux éternels quémandeurs de significations, il est permis de répondre que dans Pulp Fiction, le style est le contenu. Ce que l'on admet dans la peinture du XXe siècle, depuis les collages jusqu'au Pop'art, pourquoi le refuserait-on à un cinéaste qui nous donne ici l'équivalent d'un roman d'Elmer Leonard mis en images par Rauschenberg. La culture cinéphilique et littéraire de Tarantino, sa relecture des genres populaires sont le sujet du film qui, mine de rien, nous renvoie dans son miroir déformant l'image d'une société au bord du gouffre, aves ses personnages immoraux, sa violence convulsive et son climat speedé. Mais dans ce "Guignol's band" célinien, le rire est omniprésent, l'humour des situations et du langage servant de contrepoids à la tension inouïe de l'action..."
Nos offres d'abonnement
BASIQUE ETUDIANTS
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 4,99€ /mois
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 6,99€ /mois
PREMIUM
9 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
15 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
*A l'exception des films signalés
BASIQUE ETUDIANTS
49 | ,99€ |
/an |
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
69 | ,99€ |
pour 1 an |
PREMIUM
99 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
175 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
Vous devrez fournir un justificatif de scolarité (carte étudiante ou certificat, en .pdf ou .jpg).
UniversCiné se réserve le droit d'annuler l'abonnement sans possibilité de remboursement si la pièce
jointe envoyée n'est pas conforme.
Offre valable 12 mois à partir de la date de l'abonnement
_TITLE