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1972. Des athlètes israéliens sont massacrés à Munich. Un agent du Mossad est chargé de retrouver et d'éliminer les membres de "Septembre noir".
À Munich, en 1972, un commando de terroristes palestiniens affilié au groupe "Septembre noir" prend en otages des athlètes israéliens. L'opération tourne au carnage. Aussitôt, Golda Meir, Premier ministre israélien, prend la décision de répliquer. Avner, un jeune agent du Mossad, reçoit l'ordre de retrouver et d'éliminer les membres de "Septembre noir" qui sont considérés comme les commanditaires de l'attentat. Il change d'identité et quitte Tel Aviv en laissant sa femme enceinte. Arrivé en Europe avec un commando de quatre hommes, il tente d'entrer en contact avec le mystérieux "Papa", qui devrait lui permettre de localiser les terroristes...
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"C'est un film impossible : une reconstruction d'événements incertains, une leçon d'histoire à
"C'est un film impossible : une reconstruction d'événements incertains, une leçon d'histoire à l'usage de notre temps et un thriller. Steven Spielberg avait voulu se servir du mélodrame pour dire le génocide des juifs dans La Liste de Schindler. Il se fixe cette fois un but à la fois moins terrible — plutôt que d'essayer la représentation du mal, il ne s'agit que d'affronter le dilemme moral que pose aux démocraties la lutte contre le terrorisme — et plus insaisissable.
Nourri de l'expérience que traversent aujourd'hui les Etats-Unis et des souvenirs que le cinéaste a gardés de la prise d'otages et de l'assassinat des athlètes israéliens lors des Jeux olympiques de 1972, Munich est un film qui avance en titubant sous le poids de l'histoire. Cette responsabilité que le cinéaste a prise (et les bonnes âmes ne manqueront pas de lui faire remarquer que personne ne lui avait rien demandé) est écrasante. La première victime de cette surcharge est la facilité pourtant si naturelle de Steven Spielberg à faire du cinéma".
Lire ici la critique complète.
Thomas Sotinel"Après l’impressionnante Guerre des mondes où Spielberg revisitait le chef-d’œuvre litt&eacut
"Après l’impressionnante Guerre des mondes où Spielberg revisitait le chef-d’œuvre littéraire de H.G. Wells et édifiait une parabole d’une Amérique post-11 Septembre gangrenée par la paranoïa aiguë et la peur de l’étranger, Munich, son nouveau film, confirme la prolixité d’un cinéaste qui ne cesse d’édifier des grands films. La mise en scène atteste cette virtuosité : elle atteint des sommets, avec des mouvements de caméra impressionnants, et transcende des situations qui, sur le papier, pourraient sembler anodines. Par une profusion d’éléments, Spielberg parvient à retranscrire le chaos dans la plus banale des banalités, à sonder les angoisses souterraines, à pointer les traquenards sournoisement ourdis dans un écrin faussement serein."
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Edgar Hourrière"Quand il s’agit d’assigner un sens clair à son travail, Spielberg reste toujours un faiseur habile mais limit&eacut
"Quand il s’agit d’assigner un sens clair à son travail, Spielberg reste toujours un faiseur habile mais limité, comme dans cet ultime plan du film balayant, pour les retardataires, la skyline de Manhattan ornée de ses toutes récentes Twin Towers. Mais, depuis au moins cinq ans, son cinéma pense pour lui. Avec obstination, il réfléchit les mêmes angoisses, ressasse les mêmes histoires. Dans Munich, les plus belles scènes fonctionnent, au-delà de leur fonction scénaristique, dans cet univers parallèle qui ne cesse de se renforcer, de film en film, avec ses foyers défaits, ses enfants malades et ses parents terribles.
C’est ici l’étrange maison phosphorescente où a lieu la rencontre avec Golda Meir, figure à la fois maternelle, protectrice et sanguinaire."
Lire ici la critique complète.
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