
Olivier Jahan — Quand l'amour renaît de ses cendres...
De la rancoeur aux éclats de rire... Dans Les Châteaux de sable, un couple, incarné par Emma de Caunes et Yannic...
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Après le décès de son père, Éléonore doit vendre sa maison. Samuel, son ancien petit ami, vient l'aider. Un week-end riche en émotions et en tensions...
Éléonore, la trentaine, vient de perdre son père. Il lui a légué sa maison en Bretagne, dans les Côtes d’Armor. Elle est photographe, a connu un certain succès mais les affaires ne marchent plus comme avant. Il faut absolument qu’elle vende cette maison.Elle s’y rend avec Samuel, son ancien compagnon dont elle s’est séparée il y a quelque temps, parce qu’elle ne se sent pas d’aller seule dans cette maison où elle n’est pas retournée depuis la mort de son père. Mais elle joue avec le feu - car elle sait bien que leur relation ne s’est pas franchement apaisée, même si elle a eu depuis quelques aventures et que Samuel vit à présent avec Laure. Claire Andrieux, l’agent immobilier, s’est occupée d’organiser des visites durant les deux jours où Éléonore et Samuel vont rester dans la maison. C’est un drôle de week-end que ces trois-là s’apprêtent à passer. Un week-end surprenant, riche en surprises et en émotions, en tensions, souvenirs et engueulades, en moments mélancoliques et absurdes, dont Éléonore et Samuel sortiront forcément changés.
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" De façon simple, si on laisse de côté une narration partagée, avec quelques apartés des personnages
" De façon simple, si on laisse de côté une narration partagée, avec quelques apartés des personnages à l’écran qui semblent s’adresser aux spectateurs, le réalisateur Olivier Jahan (2ème fiction en 15 ans) évoque l’universel de la vie, cette nécessité de laisser aller les souvenirs, d’accepter à rebondir sur le drame présent d’une rupture avec le passé pour mieux affronter l’avenir. Les rapports humains, empreints de réalisme, que le cinéaste dépeint, sont "exceptionnellement banals", un oxymore qui fait remarquablement écho au vécu de chacun et qui donc nous empoigne. La beauté d’être de ces personnages paumés, assaillis de remords, de doutes et d’interrogations, au cœur de ce beau paysage automnal breton, aux vertus réflectives, illumine les propos du cinéaste. Dans ce film miroir où l’on sent poindre un petit quelque-chose d’autobiographique, on en vient à voir nos peines de vie ressassées par des talents formidables, la femme-enfant Emma de Caunes, à l’image de son père, intemporelle, Yannick Renier à la masculinité fragile magnifique, et Jeanne Rosa, révélation faussement gourde de ce métrage, qui magnifie un rôle de pauvre fille un peu casse-gueule. On n’oubliera pas de mentionner le jeu humble de Alain Chamfort, à la présence évanescente à l’instar de son personnage fantomatique."
Frédéric Mignard" Mêlant assez gracieusement les tons et les jeux formels, cette comédie mélancolique ramène sur les é
" Subtile variation sur le thème du deuil (...) Jahan sait se jouer des archétypes avec un mélange de sensibilit&
" Subtile variation sur le thème du deuil (...) Jahan sait se jouer des archétypes avec un mélange de sensibilité poignante et de crudité brutale. Rien dans son récit ne transpire le factice, y compris lorsqu'il l'accompagne par une voix off truffaldienne ou laisse ses comédiens s'adresser à la caméra. Car ces choix formels s'inscrivent dans un élan romanesque qui ne s'abîme pas dans le lacrymal.
À l'image de sa direction d'acteurs rigoureuse où jamais Emma de Caunes (son actrice fétiche, étincelante), Yannick Renier, Jeanne Rosa (irrésistible agent immobilier) ou Alain Chamfort (merveilleux de pudeur) ne versent dans la surcharge émotionnelle. Jahan scrute avec autant de justesse les âmes en souffrance que les corps qui exultent. Welcome back!"
clddsg au sujet de
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