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Lors d'un débat sur la guerre d'Algérie, le professeur Paulet accuse le capitaine Caron, de crimes de guerre. La veuve du capitaine veut sauver son honneur...
Au cours d'un débat télévisé sur la guerre d'Algérie, le professeur Paulet accuse le capitaine Caron, mort au combat en 1957, d'avoir été un tortionnaire et un criminel. Patricia Caron, sa veuve, intente un procès pour sauver l'honneur de son défunt époux. Vingt ans après la guerre d'Algérie, c'est une véritable enquête sur le passé de son mari que va mener Patricia Carou pour sauver "l'honneur d'un capitaine". Etait-il un tortionnaire ou un soldat exemplaire ?
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" L'Honneur d'un capitaine est, à ma connaissance, le premier film français qui s'intéresse autrement que par allusion à la guerre d'Algérie
" L'Honneur d'un capitaine est, à ma connaissance, le premier film français qui s'intéresse autrement que par allusion à la guerre d'Algérie qui nous a marquée au moins autant que celle d'Indochine l'a fait pour les Américains. (...) L'interprétation est excellente ..."
07/11/82" ... Il est certes positif de ramener les pendules à l'heure et les (bonnes) consciences à plus de mesure et de rigueur en les détournant
" ... Il est certes positif de ramener les pendules à l'heure et les (bonnes) consciences à plus de mesure et de rigueur en les détournant du penchant naturel à désigner systématiquement tout responsable militaire du conflit colonialiste comme un tortionnaire en puissance. Il s'agit en fait, à juste titre, d'élargir les responsabilités à tout un contexte sociologique et politique, dont l'armée n'était que l'instrument, tout contestables que puissent être certains de ses agissements. Mais l'erreur, vraisemblablement en toute bonne foi, de L'honneur d'un capitaine est de tomber d'une systématisation dans une autre et de s'en tenir, pour tout propos, à la seule réhabilitation d'un officier — du coup présenté comme symbolique - qui finalement ne résoud rien d'autre que les problèmes personnels des protagonistes concernés.
Le cas ne peut en rien avoir valeur d'exemple. Tout au plus est-il l'occasion, le prétexte, de réfléchir à nouveau, rétrospectivement, sur l'un des épisodes les plus déchirants de l'Histoire de France, et de constater, si besoin était encore, combien il suscite toujours autant les passions.
Le problème de fond reste entier, irrésolu malgré quelques phrases bien pensées et échangées au cours des débats contradictoires du procès (...) les séquences les plus réussies sont celles, introduites en flashes-back, relatant les faits d'armes évoqués et relevant d'une fascination non dissimulée pour la « droiture » et la rigueur militaires vues comme telles par le cinéaste..."
" Au dernier plan du film (...) l'honneur est apparemment sauf, mais la vérité est beaucoup plus douloureuse (...) et difficile à support
" Au dernier plan du film (...) l'honneur est apparemment sauf, mais la vérité est beaucoup plus douloureuse (...) et difficile à supporter.
On voit que Schoendoerffer n'esquive pas le problème et que son film, apparemment, pourrait déplaire à l'armée française, puisqu'il y est avoué, en clair, qu'elle a torturé. Notez bien qu'il ne s'agit pas d'une révélation bouleversante, ni d'une grande nouveauté, mais quand c'est un cinéaste aussi clairement « de droite » que l'auteur du Crabe-Tambour qui s'exprime, on peut, légitimement, être étonné..."
" ... Pierre Schoendoerffer a mis à nu, avec courage, le drame de la guerre d'Algérie à travers un film découpé comme une enquête sur l'itin
" ... Pierre Schoendoerffer a mis à nu, avec courage, le drame de la guerre d'Algérie à travers un film découpé comme une enquête sur l'itinéraire d'un homme. L'obstination d'une femme (Nicole Garcia tient ce rôle avec une dignité exemplaire) à démontrer une vérité dont elle veut être sûre conduit à un procès où s'étalent des souvenirs traumatisants, des controverses politiques et une certaine mauvaise conscience.
On voit comment, en réglant un problème personnel, le film prend parti sur la réalité d'un conflit qui a profondément divisé l'opinion française et laissé des blessures mal cicatrisées. Au temps des passions idéologiques, le réalisateur fait succéder celui de la lucidité."
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