
Xavier Beauvois : "Les beaux voyous n'existent plus vraiment. Aujourd'hui, tout le monde balance tout le monde..."
Avant de réaliser Des hommes et des dieux, Xavier Beauvois signait ce polar où se mêle son expérience en immersi...
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Antoine intègre la police judiciaire sous les ordres de Caroline Vaudieu. Celle-ci reprend le service après une éclipse pour soigner son alcoolisme...
À sa sortie de l'École de Police, Antoine monte à Paris pour intégrer la 2ème division de Police Judiciaire. Caroline Vaudieu, de retour dans le service après avoir vaincu son alcoolisme, choisit le petit lieutenant pour son groupe crim'. Plein d'enthousiasme, Antoine fait son apprentissage du métier aux côtés de ses hommes. Vaudieu s'attache rapidement à ce jeune homme, de l'âge qu'aurait eu son fils disparu...
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"Il faut saluer la terrible précision du Petit Lieutenant à décrire la routine d'un commissariat parisien, précision rendue possible par un
"Il faut saluer la terrible précision du Petit Lieutenant à décrire la routine d'un commissariat parisien, précision rendue possible par un long labeur d'observation, un fétichisme du détail [...] [Beauvois] a nettement manifesté qu'il ne souhaitait se poser ni en gardien, ni surtout en fossoyeur de l'idéal."
François Bégaudeau et Emmanuel Burdeau"Ni héroïsant ni diabolisant, Le Petit lieutenant prouve que la police ne doit pas être interdite de fonction, et que ça peut même donner un
"La fiction chez Beauvois se niche dans les détails, dans les affiches de cinéma — des 400 coups, de Podium, d’Un Flic, d’Il était une fois
"La fiction chez Beauvois se niche dans les détails, dans les affiches de cinéma — des 400 coups, de Podium, d’Un Flic, d’Il était une fois en Amérique — dont il tapisse les murs du commissariat ou du café du coin, donnant ainsi de la grandeur aux rêves de ses petits personnages. On devient flic comme on devient cinéaste, parce qu’on a trop aimé voir des films. Et seulement après, apprend-on à composer avec le réel."
Isabelle Regnier"(...) La police côté cour, donc, et cour des Miracles, souvent. La routine, si brutale puisse-t-elle nous paraître, notamment quand elle c
"(...) La police côté cour, donc, et cour des Miracles, souvent. La routine, si brutale puisse-t-elle nous paraître, notamment quand elle consiste à suivre une autopsie comme à l’étal du boucher. Le style Beauvois appliqué au polar est là : après un important travail de documentation, le cinéaste de Selon Matthieu nous immerge au ras du quotidien des fl ics, mais sans jouer l’habitué qu’il n’est pas. Un peu comme dans les documentaires sidérés de Depardon sur la justice, chaque détail devient ainsi curiosité, spectacle, voire source d’effroi (...).
Le Petit Lieutenant est aussi un bulletin de santé de la société - particulièrement âpre, sans doute parce que la fréquentation prolongée d’un commissariat n’incite pas vraiment à l’euphorie. Concernant la part de pure fi ction, c’est encore plus terrible : l’idéalisme est voué à l’échec, les jeunes sont vulnérables, inaptes à la survie, les vieux increvables, mais c’est pour voir se répéter leurs pires heures. Et pourtant le fi lm demeure accueillant, voire chaleureux, vu l’attention bienveillante accordée à chaque personnage, du plus charismatique (Roschdy Zem) au plus réac (le réalisateur lui-même). Surtout, en misant sur l’énergie d’un vrai cinéma d’action, Beauvois parvient à remonter la pente tragique de son récit, et atteint en bout de course une forme d’apaisement, presque une sagesse."
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