
EFA 2014 - Tapis rouge et palmarès
Tout le gratin du cinéma européen se pressait aux portes de l'Opéra de Riga ce samedi 13 décembre pour la cérémo...
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Pologne 1962, Anna, orpheline élevée au couvent, part à la rencontre de sa tante. Elle découvre alors un sombre secret de famille datant de l'occupation nazie.
Dans la Pologne des années 60, avant de prononcer ses vœux, Anna, jeune orpheline élevée au couvent, part à la rencontre de sa tante, seule parmi les siens à être encore en vie. Elle découvre alors un sombre secret de famille datant de l'occupation nazie. Récompensé par la Flèche de Cristal au Festival de Cinéma Européen des Arcs en 2013.
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" Pawel Pawlikowski, dont on avait pu apprécier le sens de l'épure en adaptant la prose de Douglas Kennedy à l'écran, gagne ici un poignant
" Cette parenthèse de quelques jours, l'Anglo-Polonais Pawel Pawlikowski la filme avec deux visages extraordinaires, l'un, pur, l'autre, rav
" Cette parenthèse de quelques jours, l'Anglo-Polonais Pawel Pawlikowski la filme avec deux visages extraordinaires, l'un, pur, l'autre, ravagé. Un film esthétisant ? Non. C'est un voyage sobre, sec, avec deux âmes basculant dans un pays qui vit sur les cendres de son Histoire, dont on réentend la langue magnifique. Depuis quand n'avait-on pas vu un si beau film polonais ? Depuis Kieslowski, sans doute."
François-Guillaume Lorrain" Un film étouffé, comme l'est le bruit des pas sur la neige. Un film retenu, comme ce passé polonais qui a tant de mal à passer. Une impres
" Un film étouffé, comme l'est le bruit des pas sur la neige. Un film retenu, comme ce passé polonais qui a tant de mal à passer. Une impression de perte de sens et de repères, renforcée par le format carré du cadre et le décadrage quasi systématique des personnages perdus sous un ciel plombé."
Franck Nouchi" C'est un film aux immenses espaces vides. La lumière qui l'irradie semble écraser des personnages que Pawel Pawlikowski filme souvent au
" C'est un film aux immenses espaces vides. La lumière qui l'irradie semble écraser des personnages que Pawel Pawlikowski filme souvent au bord du cadre, comme isolés ou apeurés. Ces plans fixes en noir et blanc, entêtants, beaux, presque esthétisants, suscitent le trouble et le mystère. Le film change, passe constamment du secret à la vérité, de l'ombre à la clarté, des refrains délicieusement superficiels (Love in Portofino, 24 000 Baisers, Guarda che luna) au jazz de John Coltrane, qui fait entrevoir à Ida la beauté et la mélancolie de la vie.
Pawel Pawlikowski est un cinéaste de l'absolu. Ses personnages s'y plient ou en meurent. Dans son film précédent, le superbe et méconnu La Femme du Ve, le héros (Ethan Hawke) acceptait, après un long parcours dans un Paris métamorphosé en ville cauchemardesque, de sacrifier sa vie à son art. Il plongeait dans son destin... Ida, elle, tente de résister : elle ôte son voile, libère ses cheveux, emprunte la robe et les souliers noirs de sa tante, suit le beau saxophoniste qui lui a fait entrevoir le monde. Il lui propose de partir avec lui. Elle sourit : " Et après ? "... " Après, on achètera un chien et une maison ! Et on aura des enfants. " Oui, mais après ?... " Après, on aura des problèmes, comme tout le monde ! "...
Ida marche sur une route. La voilà en route. Elle a vu la médiocrité du monde. Elle croit toujours à un possible au-delà. Un prélude de Bach l'accompagne, celui-là même qu'avait utilisé Andreï Tarkovski dans Le Miroir. Et c'est bien ce que filme Pawel Pawlikowski, en définitive : nos reflets dans une glace."
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