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Harley Quinn reprend du service lorsque Roman Sionis, l'ennemi le plus abominable de Gotham, décide de s'en prendre à une certaine Cass...
Une histoire déjantée racontée par Harley en personne, d'une manière dont elle seule a le secret : lorsque Roman Sionis, l'ennemi le plus abominable et le plus narcissique de Gotham, et son fidèle acolyte Zsasz, décident de s'en prendre à une certaine Cass, la ville est passée au peigne fin pour retrouver la trace de la jeune fille. Les parcours de Harley, de la Chasseuse, de Black Canary et de Renee Montoya se télescopent et ce quatuor improbable n'a d'autre choix que de faire équipe pour éliminer Roman…
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"L’heure est à la résurrection pour Harley Quinn. L’héroïne s’offre de nouvelles avent
"L’heure est à la résurrection pour Harley Quinn. L’héroïne s’offre de nouvelles aventures sous la direction de Cathy Yan, et après le chaotique Suicide Squad la réalisatrice avait du pain sur la planche. Dans cette réécriture audacieuse, le personnage ultra sexualisé dans le film de David Ayer se réinvente en figure féminine, forte et indépendante. Comme le titre du long-métrage l’indique, l’émancipation est au cœur du récit et il aborde ces thématiques plutôt subtilement. Si on n’échappe pas aux lourdes références – musicales pour la plupart – le scénario distille son propos de manière plutôt efficace. On regrette quelques séquences, comme lorsque Black Canary pousse la chansonnette sur This is a Man’s Man’s Man’s World de James Brown. À plusieurs reprises, le film aborde le principe de consentement à l’ère post #metoo et assume sa portée féministe. Il s’inscrit en opposition totale avec Suicide Squad, sans pour autant balayer du revers de la main l’intrigue introduite par David Ayer. Le film choral choisit aussi de présenter de nouveaux personnages qui ne sont pas dénués d’intérêt. "
Julie Hay"Birds of Prey, irrévérencieux au possible, brise joyeusement les codes de l’univers DC tout en leur accordant un i
"Birds of Prey, irrévérencieux au possible, brise joyeusement les codes de l’univers DC tout en leur accordant un immense respect, du cadrage et des effets spéciaux au montage impeccable, signé Evan Schiff, qu’on trouvait au générique des deux derniers John Wick. Et si l’hommage aux diamonds de la best friend Marilyn, malgré ses accents Baz Luhrmaniens, ne parvient pas à mettre le feu aux poudres, la séquence dans le parc d’attractions, toile de fond classique des comics, est sublimée, elle, par l’ingéniosité de la mise en scène."
Mary Noelle Dana"La photographie qui oscille constamment entre des couleurs fluo et des ambiances brumeuses répond à la même logiqu
"La photographie qui oscille constamment entre des couleurs fluo et des ambiances brumeuses répond à la même logique. Au-delà d’être un simple marqueur esthétique à visée marketing, elle semble également rappeler, tout au long de l’intrigue, l’état halluciné dans lequel évoluent les personnages. Il n’est pas innocent que l’image se pare si souvent d’un voile poudreux, alors même que dans une scène de combat, Harley Quinn inspire malgré elle un peu de cocaïne échappée d’un sachet saisi par la police. Outre cette référence explicite, l’héroïne et ses acolytes se trouvent le plus souvent sous l’emprise de l’alcool ou de médicaments (la fléchette qui immobilise Harley Quinn à la fin du film), dictant ainsi en partie son rythme au film, entre trips jubilatoires et descentes violentes. La performance de Margot Robbie incarne à elle seule cette dualité, faite à la fois d’une force bravache et d’une fragilité de petite fille paumée."
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