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Après un accident d'avion, un homme survit dans le désert glacial de l'Arctique mais un évènement va le pousser à quitter son refuge...
En Arctique, la température peut descendre jusqu’à moins –70°C. Dans ce désert hostile, glacial et loin de tout, un homme lutte pour sa survie. Autour de lui, l’immensité blanche, et une carcasse d’avion dans laquelle il s’est réfugié, signe d’un accident déjà lointain. Avec le temps, l’homme a appris à combattre le froid et les tempêtes, à se méfier des ours polaires, à chasser pour se nourrir… Un événement inattendu va l’obliger à partir pour une longue et périlleuse expédition pour sa survie. Mais sur ces terres gelées, aucune erreur n’est permise… Présenté en séance de minuit au festival de Cannes 2018.
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"Il faut toujours se risquer à jeter un œil aux séances de minuit cannoises. Même si la pêche est hasar
"Il faut toujours se risquer à jeter un œil aux séances de minuit cannoises. Même si la pêche est hasardeuse (souvenons-nous, entre autres, du Dracula de Dario Argento), elle permet d’accéder à quelques pépites. Arctic, premier film de Joe Penna, est de celles-là. L’argument est simple, Overgard (Mads Mikkelsen) se retrouve coincé en pleine terre arctique après un accident d’avion. L’histoire qui s’en suit, sans en révéler les péripéties, est un récit de survie, dans la grande tradition du genre. La rudesse de celles-ci, combinées à une remarquable exploitation de décors naturels enneigés, plonge immédiatement le spectateur au cœur de l’action. Peu de dialogue et de psychologie, uniquement des actions. Cette vision behavioriste de l’histoire résonne parfaitement avec le choix de Mads Mikkelsen pour incarner le protagoniste. Au départ monolithique et d’une parfaite efficacité, son personnage est progressivement craquelé par l’émotion et les failles, impliquant encore un peu plus le spectateur, immédiatement saisi par la mise en scène sans gras de Joe Penna. Et c’est là que brille le talent du comédien danois, qui parvient, lors de quelques gros plans sur son visage, à dessiner une impressionnante palette d’émotions, contrepoint saisissant d’une nature muette et glacée."
François-Xavier Taboni"Dans un premier temps, le réalisateur fait le choix (initialement salutaire) de l’ascèse, se focalisant sur ce qu
"Dans un premier temps, le réalisateur fait le choix (initialement salutaire) de l’ascèse, se focalisant sur ce qui compose le quotidien rigoriste de son héros mutique. Rituels immuables afin d’assurer un semblant de sécurité, routine dévolue à la recherche d’alimentation, consolidation d’un abri par définition précaire, Penna se met à hauteur d’homme et refuse toute grandiloquence.
Ainsi, il n’aborde jamais frontalement la question du passé de son personnage, en faisant quasiment une figure abstraite, un corps désormais tout entier consacré à sa propre conservation, bien loin des attendus de la fable de survie hollywoodienne.
Il y parvient grâce à l’impeccable travail de Mads Mikkelsen. On connaît de longue date le charisme invraisemblable du comédien, mais il trouve ici l’opportunité de le mêler à une partition minimaliste en diable, qui l’oblige à communiquer au spectateur un éventail d’émotions extrêmement large, dans un contexte rien moins qu’inamical. Recroquevillé sous le vent, engoncé dans une lourde parka, la peau abrasée par le givre, Mikkelsen use des plus sensibles inflexions de son corps, pour raconter l’enfer d’un homme condamné à l’intériorité.
Le récit d’Arctic fonctionne ainsi durant son premier acte comme une formidable machine métaphorique, un tremplin à image sans cesse renouvelé. Avec son héros isolé dans un océan immaculé et implacable, il trace un portrait évocateur de l’humain en prisonnier, condamné à une immédiateté perpétuelle, et d’une cruauté ravageuse."
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