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Un quadragénaire frustré et méprisé de tous, à commencer par sa propre famille, profite de son licenciement pour se remettre radicalement en question.
Lester Burnham, modeste publicitaire, mène une vie aussi confortable que monotone dans une élégante banlieue résidentielle. Sa femme Carolyn, agent immobilier d'une ambition sans limites, le méprise ouvertement, à l'instar de sa fille, Jane, encore jeune mais déjà dépressive. Lorsqu'il perd son emploi, cet accident de parcours, loin de le traumatiser, lui permet de faire le point sur sa vie et de reprendre totalement son destin en main. Désormais, il n'en fera qu'à sa tête, s'autorisera tous les désirs, tous les excès. Sa détermination se renforce encore lorsqu'il fait la connaissance de la ravissante Angela, une amie de sa fille. Et une adolescente forcément décomplexée aux yeux de Lester... 5 Oscars (meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur acteur, meilleur scénario original et meilleure photographie
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"Rarement film aura été précédé d'une telle réputation. Depuis son avant-première au festival de Toronto (où il a reçu le prix du public) et
"Rarement film aura été précédé d'une telle réputation. Depuis son avant-première au festival de Toronto (où il a reçu le prix du public) et sa sortie outre-atlantique déclenchant un concert tonitruant d'éloges dans la presse suivi par un plébiscite public pas gagné d'avance, American Beauty a des allures de fruit de labo, génétiquement modifié, presque trop mûr, trop juteux, trop lisse pour ne pas rendre soupçonneux. Premier scénario ciné d'Alan Ball, réputé pour ses pièces de théâtre et surtout pour la série télé à succès Cybill, première coproduction d'un tandem, Bruce Cohen et Dan Jinks, décidé à fabriquer «des films intelligents et soignés avec des personnages forts», financièrement couvé au sein de Dreamworks par Steven Spielberg, American Beauty est aussi le premier film de Sam Mendes, sorte de Patrice Chéreau anglais, formé à Cambridge, renommé pour ses mises en scène de théâtre, dont plusieurs Shakespeare, une Blue Room avec Nicole Kidman et un dépoussiérage de Cabaret ayant affolé Broadway. A 36 ans, Mendes apparaît comme un wonder boy à qui tout réussit, et son épreuve du feu hollywoodien devrait se solder bientôt par une moisson d'oscars. Qui dit mieux?"
Retrouvez ici la critique complète.
Didier Péron"Tout cela est cruellement drôle, notamment Kevin Spacey, hilarant en homo americanus indigne, quadra aspirant à ne rien foutre hormis baise
"Tout cela est cruellement drôle, notamment Kevin Spacey, hilarant en homo americanus indigne, quadra aspirant à ne rien foutre hormis baiser son épouse, fumer des joints et siroter des bières en regardant la télé. En pleine idéologie meurtrière de l’ambition et de la réussite sociale, ce genre de personnage à la Reiser/Vuillemin fait plaisir à voir, surtout dans le contexte d’une comédie hollywoodienne. « Le personnage principal ne sait pas lui-même où il va, ce qui est pour moi un point positif. C’est un homme perdu, vulnérable, foutraque, il n’a aucune avance sur le public, j’aime bien ça. Je crois que beaucoup de gens, comme lui, sont hantés par l’idée d’une vie qu’ils n’ont pas vécue ou qu’ils auraient pu vivre si… Quels que soient l’âge, le sexe, la nationalité, tout le monde se regarde un jour en se disant « Qu’ai-je fait de ma vie ? » C’est un antihéros : il a toute notre sympathie, mais il a aussi des aspects peu reluisants, voire déplaisants », explique Mendes."
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Serge Kaganski"Lors de sa sortie, American Beauty reçut des critiques élogieuses de la part de la presse américaine, qui le considéra comme «&nb
"Lors de sa sortie, American Beauty reçut des critiques élogieuses de la part de la presse américaine, qui le considéra comme « le meilleur film de l’année 1999 » : une distribution impeccable, un excellent scénario, une réalisation soignée... tout le monde sembla unanime. Il en fut de même en France, bien que Sam Mendes ait considéré plusieurs articles comme faisant des « éloges excessifs » de son travail. American Beauty fut par ailleurs un succès public et professionnel, recevant quatorze récompenses, dont cinq Oscars (meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur acteur, meilleur scénario original et meilleure photographie)."
Retrouvez ici la critique complète.
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