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Un soir, après une soirée arrosée, Russell décide de sortir dans un club gay. Il y rencontre Glen, pour un week-end qui va marquer leurs vies
Un soir, alors qu'il quitte ses amis pour rentrer chez lui, Russell décide finalement de sortir dans un club gay. Seul, il ne le restera pas longtemps puisqu'il va y rencontrer Glen, avec qui il va finir la nuit. Entre sexe et confidences, ils embarquent tous les deux pour un week-end qui marquera leurs vies... La critique britannique (London Critic's Circle) a décerné au film le prix de la Révélation 2012 - Meilleur premier film de l'année.
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"... Le petit-déj du lendemain, l’échange des 06, les confessions faites tard le soir sous le coup de l’alcool… Haigh réussit avec ces petit
"... Le petit-déj du lendemain, l’échange des 06, les confessions faites tard le soir sous le coup de l’alcool… Haigh réussit avec ces petites choses que tout le monde a vécues un mélo bouleversant. Dans le réalisme social (...) il nous offre tout simplement et humblement ce qu’on a vu de meilleur outre-Manche depuis longtemps."
Romain Titeux" Vingt-sept ans après My beautiful laundrette, de Stephen Frears, ce film embarque deux jeunes hommes anglais dans une histoire de sexe et
" Vingt-sept ans après My beautiful laundrette, de Stephen Frears, ce film embarque deux jeunes hommes anglais dans une histoire de sexe et de sentiments. Mais les temps ont changé : l'ancrage social compte moins aujourd'hui. C'est la question de l'intime qui prime. Se raconter, se définir, se deviner avec des mots et des gestes, c'est le programme de ce Week-end où Russell et Glen se rencontrent et restent en tête-à-tête. (...) Dans cette atmosphère de repli sur soi, la rencontre peut redevenir la grande aventure, mais intériorisée, secrète, pour serrer sa propre vérité au contact de celle de l'Autre. Pour quitter sa bulle tout en y restant.
Une philosophie très actuelle dans laquelle Andrew Haigh trouve le ferment d'un film moderne, aussi gay qu'ouvert à tous les cinéphiles. L'intensité, qu'il cherche comme ses personnages, ce jeune cinéaste la trouve dans le maniement de la caméra, dans des plans qu'il sait faire durer. Il a annoncé qu'il tournerait bientôt le remake d'un film de la Nouvelle Vague, sans dire lequel. En voyant comment il filme Russell et Glen dans une chambre, on peut être sûr qu'il a beaucoup observé comment Jean-Paul Belmondo et Jean Seberg évoluaient dans celle d'À bout de souffle (1960), sous l'oeil de Godard. L'auteur de Week-end, celui de 1967."
" Le propos est bien celui de l’extériorisation, celui de la réduction de la distance entre l’intime et le public – car un geste tendre peu
" Le propos est bien celui de l’extériorisation, celui de la réduction de la distance entre l’intime et le public – car un geste tendre peut être donné comme une affirmation quasi politique. Tout le travail du film est de surmonter et de transformer cette obsession du privé en accomplissement déclaré de soi. Ainsi, au-delà de la posture naturaliste, le film se donne comme un sentiment de réalisme.
Avec un regard précis, Andrew Haigh met en scène l’exploration des corps et des coeurs des amants l’espace d’un week-end. La banalité du quotidien se répète (préparer le café ou regarder, de sa fenêtre, son amant s’éloigner) et le film la dessine comme un motif qui permet que s’insinue, dans un circuit qu’on croit tracé, un lyrisme fugace."
" De Brève rencontre à Sur la route de Madison, les histoires d’amour concentrées sur quelques heures constituent un sous-genre à part
" De Brève rencontre à Sur la route de Madison, les histoires d’amour concentrées sur quelques heures constituent un sous-genre à part entière du mélodrame. Et c’est la tête haute que ces deux jours entre garçons se glissent à leur côté.
Sensuel et déchirant, attentif et viscéral, le film observe, analyse et bénit ses amants éphémères avec une puissance inversement proportionnelle à la modestie de sa facture."
" Cette chronique sentimentale, tendre et pudique (mis à part quelques scènes torrides), nous fait partager la relation naissante entr
" Cette chronique sentimentale, tendre et pudique (mis à part quelques scènes torrides), nous fait partager la relation naissante entre deux solitaires blessés par la vie. Week-end, interprété par des acteurs au charisme certain, trouve le ton juste. Les homos devraient s'y retrouver, tandis que les hétéros découvriront certainement une planète inconnue, débarrassée des préjugés et des caricatures. Et si le paysage est légèrement différent, tout le monde peut y respirer car l'air de l'amour est universel."
Alain Spira« On dirait Coup de foudre à Notling Hill » Si, comme le souffle Glen, la comédie romantique infuse bien le deuxième film d'Andrew Ha
« On dirait Coup de foudre à Notling Hill » Si, comme le souffle Glen, la comédie romantique infuse bien le deuxième film d'Andrew Haigh, Week-end s’inscrit plutôt dans le versant amour-amitié du genre qui avait squatté les écrans l'année dernière (Sexe entre amis, Sex Friends). Après leur rencontre dans un night-club gay de Nottingham, Glen et Russell évoluent peu à peu vers l’aveu sentimental. L'occasion pour le réalisateur de délivrer sa petite philosophie de la romance d’un soir - ou «one-nighl stand» en V.O.
Subtilement, Haigh fait endosser à ses personnages l’héritage de cinématographies gay antinomiques. Russell résonne avec les récits de coming-out et d’acceptation de soi tandis que Glen se rapproche des films du «New Queer Cinéma» des années 1990, dans la droite lignée de leurs personnages fiers brocardant toute idée d’assimilation dans la société hétéro. Comme si les cow-boys torturés par leur sexualité de Brokeback Mountain s’entichaient des amants punks, libres et criminels de Gregg Araki, qui faisaient exploser les placards dans The Living End (1992). On fait parfois de jolies rencontres en boîte de nuit.
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