UniversCiné utilise des cookies afin de vous offrir une expérience utilisateur optimale.
En les acceptant vous nous permettez d’améliorer nos services, de mesurer notre audience, de personnaliser votre expérience et vous pourrez bénéficier des fonctionnalités relatives aux réseaux sociaux.
Vous pouvez personnaliser vos choix en cliquant sur « PERSONNALISER » et obtenir davantage d'informations en consultant notre politique de gestion des cookies.
This is a modal window.
Début de la fenêtre de dialogue. La touche d'échappement annulera et fermera la fenêtre.
Fin de la fenêtre de dialogue.
Une famille survivant de petits larcins recueille une petite fille maltraitée par ses parents. Ils vivent heureux, jusqu'à ce que leur équilibre soit menacé...
Rentrant d'une expédition de vol à l'étalage, Osamu et son fils recueillent une petite fille. La femme d'Osamu accepte de la garder lorsqu'elle découvre que la petite est maltraitée. La famille semble vivre heureuse, survivant de petits larcins, jusqu'à ce qu'un incident menace de révéler leurs terribles secrets... Une affaire de famille a reçu la Palme d'or au Festival de Cannes en 2018 et le César du Meilleur film étranger en 2019.
Le lecteur n'est pas installé ?
Pour votre information, la lecture en mode hors-ligne n'est pas compatible avec le système d'exploitation Linux
"Fidèle à sa façon de filmer pleine d’humilité, Kore-eda pose ainsi sa caméra au cœur de
"Fidèle à sa façon de filmer pleine d’humilité, Kore-eda pose ainsi sa caméra au cœur de cette famille pas comme les autres et s’interdit d’appuyer sur quelque discours mielleux ou autre scène superficielle. Avec la délicatesse qui caractérise son cinéma, il va peu à peu dévier de cette observation collégiale pour aller se concentrer sur chacun des membres et leurs interconnexions. C’est justement là que son travail sur ses précédents films se ressent car là où la première partie nous avait fait apprécier « une famille », la suite du développement parvient à rendre les six personnages plus attachants autant qu’à élargir leur caractérisation individuelle. [...] Mais cette fable aigre-douce n’en reste pas moins un regard mélancolique sur la société japonaise."
Julien Dugois"C’est d’une beauté extraordinaire qui frise l’angélisme - toutefois il n'y a jamais d
"C’est d’une beauté extraordinaire qui frise l’angélisme - toutefois il n'y a jamais d'angélisme chez Kore-eda car ses personnages sont extrêmement vrais, ils sont vivants, ils ne sont pas réduits à la pauvreté, à leur statut social, à leur qualité… Mais la deuxième partie, sans en parler, renverse le film et lui donne une force incroyable. C’est intéressant car tout à coup les personnages, de par la situation, sont obligés de théoriser sur la fiction qu’ils ont vécue, et ils commentent eux-mêmes ce qu’ils ont fait, ce qu’ils ont été, et c’est très intéressant."
Sophie Avon"Le bon sentiment est coupé par le montage : là où on pourrait tomber dans la mièvrerie, le
"Le bon sentiment est coupé par le montage : là où on pourrait tomber dans la mièvrerie, le bon sentiment est coupé, sans cynisme, avec une vraie lucidité. Et les personnages continuent à exister dans le hors-champs. C’est un cinéaste bouleversant et très lucide. Et ce film est universel même s’il est terriblement nippon, il nous dit des choses sur la famille qui nous déculpabilise."
Xavier Leherpeur"Comme toujours, le cinéaste accorde une attention particulière aux personnages (formidablement interprété
"Comme toujours, le cinéaste accorde une attention particulière aux personnages (formidablement interprétés). Il se tient à la fois proche de leurs visages, attaché à la vivacité de leur débrouille quotidienne, mais aussi à distance pudique, en particulier lorsqu’ils sortent pour s’exposer au monde du dehors. Et, comme toujours, il filme les enfants comme personne, dans le sérieux d’une maturité trop précoce comme dans la douceur naïve de leurs peaux, de leurs regards neufs. Ceux d’Une affaire de famille, un grand garçon, une petite fille, en rappellent d’autres, les poignants gamins abandonnés de Nobody knows, dont la lente disparition, oubliés de tous, constitue presque le parfait négatif de cette histoire de sauvetage et d’adoption.
On a beaucoup comparé Kore-eda à son compatriote Ozu, pour sa subtilité et son sens aigu des nuances psychologiques. Mais c’est à la dérision humaniste, à la pertinence sociale du grand cinéma italien, de Mario Monicelli à Vittorio De Sica, que l’on pense cette fois, face à cet hommage aux perdants magnifiques. Aux perdants tout court."
Nos offres d'abonnement
BASIQUE ETUDIANTS
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 4,99€ /mois
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 6,99€ /mois
PREMIUM
9 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
15 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
*A l'exception des films signalés
BASIQUE ETUDIANTS
49 | ,99€ |
/an |
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
69 | ,99€ |
pour 1 an |
PREMIUM
99 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
175 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
Vous devrez fournir un justificatif de scolarité (carte étudiante ou certificat, en .pdf ou .jpg).
UniversCiné se réserve le droit d'annuler l'abonnement sans possibilité de remboursement si la pièce
jointe envoyée n'est pas conforme.
Offre valable 12 mois à partir de la date de l'abonnement
_TITLE