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Une femme, victime d’un kidnapping, contacte les urgences de la police. Pour la retrouver, le policier qui a reçu l’appel ne peut compter que sur son intuition.
Une femme, victime d’un kidnapping, contacte les urgences de la police. La ligne est coupée brutalement. Pour la retrouver, le policier qui a reçu l’appel ne peut compter que sur son intuition, son imagination et son téléphone, dans une course folle contre le temps.
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"Gustav Möller n’invente rien (de Douze Hommes en colère à Buried, les huis-clos à concept sont l&eacu
"Gustav Möller n’invente rien (de Douze Hommes en colère à Buried, les huis-clos à concept sont légions) mais sa façon de créer de l’espace avec du son est délicieuse. Qu’une sonnerie dans le vide se prolonge trop longtemps, et l’air se raréfie. Le monde semble éteint, presque en deux dimensions. Que quelqu’un réponde, et c’est comme si une porte s’ouvrait : un monde surgit, dont les volumes sont dessinés par l’intensité de la pluie, les craquements d’un parquet ou le frottement des roues sur l’asphalte.
Désespérément seul à l’écran, le policier semble s’investir de façon démesurée, cherchant à combler un manque. Les vrais enquêteurs le poussent à rentrer chez lui, lui rappellent son statut de sous-flic chargé du téléphone. Ses collègues ont d’autres chats à fouetter ou un sandwich à finir et restent impassiblement flous. Plus qu’un gimmick, cette mise en scène par suppression du mouvement finit surtout par construire un joli polar de l’impuissance."
"Dans les bons polars, le zèle des enquêteurs n’est pas toujours bon conseiller. C’est le cas dans cet impress
"Dans les bons polars, le zèle des enquêteurs n’est pas toujours bon conseiller. C’est le cas dans cet impressionnant premier film danois. Ce huis clos à l’écriture millimétrée repose sur les réactions et les décisions d’un policier au standard de police secours qui reçoit l’appel d’une femme en détresse… Gustav Möller use du son à la manière de Jusqu’à la garde, de Xavier Legrand, et fait monter le suspense à coups de mini-révélations à l’autre bout du fil. Le hors-champ — un enlèvement, des enfants seuls chez eux — devient un film en soi. Alfred Hitchcock rêvait d’un thriller dans une cabine téléphonique, ce Danois l’a fait."
Guillemette Odicino"Ce n'est pas qu'une posture un peu chic de premier film qui fait tout pour se la ramener : The Guilty est aussi bien &eac
"Ce n'est pas qu'une posture un peu chic de premier film qui fait tout pour se la ramener : The Guilty est aussi bien écrit qu'extrêmement soigné techniquement, avec un travail sur le son notamment remarquable, et fournit l'une des clefs du film en imposant au spectateur de composer une géographie mentale. Mais au fond The Guilty passe en fait 1h25 à patiemment construire puis déconstruire un personnage de flic complexe et fouillé, touche par touche, mot par mot, nuance par nuance. L'épatant Jakob Cedergren (vu dans Submarino de Thomas Vinterberg ou Antigang avec Jean Reno) incarne ainsi avec mille nuances -sa voix, son regard, sa façon d'enlever et de remettre son kit mains libres, voire même le geste de ses doigts sur un clavier- un héros constamment frustré par son désir d'action. Sa frustration, au fur et à mesure des appels, des coupures de réseau et des interruptions, alimente la dynamique inquiétante et brisée du film. The Guilty devient, en creux, l'histoire fondamentalement tragique de l'échec d'un héros."
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