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Quand Mickey Pearson, baron de la drogue à Londres, laisse entendre qu’il pourrait se retirer du marché, il déclenche une guerre explosive...
Quand Mickey Pearson, baron de la drogue à Londres, laisse entendre qu’il pourrait se retirer du marché, il déclenche une guerre explosive : la capitale anglaise devient le théâtre de tous les chantages, complots, trahisons, corruptions et enlèvements… Dans cette jungle où l’on ne distingue plus ses alliés de ses ennemis, il n’y a de place que pour un seul roi !
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"Le scénario fonctionne comme une poupée gigogne. Chaque évènement du récit en appelle un autre, et
"Le scénario fonctionne comme une poupée gigogne. Chaque évènement du récit en appelle un autre, et finalement, quand les personnages sombrent dans une impasse dont ils auront bien des difficultés à se tirer, refait partir le récit dans une nouvelle direction. Cela donne au long-métrage un rythme absolument jouissif. L’écriture fait montre d’une redoutable efficacité narrative et il ne serait pas étonnant que les dialogues atterrissent sur les bancs d’une école de cinéma, tant les choses sont ciselées avec précision. The Gentlemen n’a rien du long-métrage d’aventure grossier. A la façon de ses personnages principaux, des mafieux élégants et subtils, le film regorge de nuances dans la mise en scène. On ne s’ennuie pas une seule seconde dans ce récit vif, tout en cultivant l’impression d’apprendre sur la technicité cinématographique elle-même. Tous les sens du spectateur sont mis à l’épreuve et le plaisir n’est jamais déçu. Le film est une sorte d’école du scénario où l’on expérimente le souci du détail, à la manière d’une enquête d’Hercule Poirot."
Laurent Cambon"On n’avait pas vu l’artiste à ce point maître de ses tours depuis des années. Alors qu’il retro
"On n’avait pas vu l’artiste à ce point maître de ses tours depuis des années. Alors qu’il retrouve la matière première de son cinoche et jubile de dérouler une intrigue plastique, imprévisible et toujours prête à plonger dans une nouvelle mise en abîme, Ritchie laisse aussi la place à une ironie sardonique, presque mélancolique. Comme conscient d’être désormais un créateur entre deux eaux, plus tout à fait turbulent, incapable de s’assimiler, il propose ici une voie médiane, euphorisante, mordante et incroyablement accomplie.
On regrettera que par endroits, le métrage préfère jouer la sécurité, recycle de manière trop évidente quelques morceaux de bravoure éculés, pille sans vergogne une des plus belles répliques de Collatéral, ou perde parfois son temps, notamment lors d’une triple poursuite, qui ne se justifie ni plastiquement ni scénaristiquement, mais il s’agit là de scories. Guy Ritchie a vieilli, et s’il retrouve son trône, c’est pour mieux nous inviter à le renverser."
"Après plus de dix ans d’errance, excepté le solide diptyque Sherlock Holmes, Guy Ritchie revient à ses
"Après plus de dix ans d’errance, excepté le solide diptyque Sherlock Holmes, Guy Ritchie revient à ses premières amours : le film de gangsters choral et furibard. Un retour que l’on n’attendait plus. Ça faisait une sacrée paye qu’on n’avait pas eu de ses nouvelles en direct des bas-fonds londoniens où sévit la petite criminalité à l’accent cockney. Ces combinards poissards, grotesques mais attachants s’évertuant à foirer leur business plan pour quelques billets dont ils ne verront jamais la couleur. La dernière fois, c’était en 2008 pour RockNRolla, entre un club transpirant et un terrain de golf impeccable. Il était question d’un tableau volé, d’une rockstar disparue, de branleurs avides d’oseille et de mafieux russes indestructibles. La routine, quoi. Puis, plus rien. Si : une pantalonnade d’espionnage, un remix du mythe de la Table ronde et la caverne d’Aladdin. Une page s’était tournée. Comme un adieu. Mais heureusement, Ritchie est de retour aux affaires. Et c’est du sérieux. Homme de main taciturne, journaliste véreux, amants diaboliques, mafieux (chinois cette fois-ci), voyous surentraînés et forêt luxuriante de marijuana... Il fallait bien tout ça sur la table pour que Guy Ritchie prouve qu’il n’est pas revenu pour ricaner. Le réalisateur a un titre à récupérer. Quoi de mieux que de revenir aux sources et retrouver l’énergie des débuts ?"
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