UniversCiné utilise des cookies afin de vous offrir une expérience utilisateur optimale.
En les acceptant vous nous permettez d’améliorer nos services, de mesurer notre audience, de personnaliser votre expérience et vous pourrez bénéficier des fonctionnalités relatives aux réseaux sociaux.
Vous pouvez personnaliser vos choix en cliquant sur « PERSONNALISER » et obtenir davantage d'informations en consultant notre politique de gestion des cookies.
This is a modal window.
Début de la fenêtre de dialogue. La touche d'échappement annulera et fermera la fenêtre.
Fin de la fenêtre de dialogue.
En Angleterre, au milieu du XIXe siècle, un garçon se retrouve mêlé à la lutte entre deux factions pour la possession d'une étrange sphère d'acier.
En 1851, à l'époque de l'Angleterre victorienne, Ray, un gamin surdoué, réussit à maîtriser une nouvelle invention ultra puissante et dévastatrice et va l'utiliser pour lutter contre les forces du mal, sauver sa famille et Londres de la destruction...
Le lecteur n'est pas installé ?
Pour votre information, la lecture en mode hors-ligne n'est pas compatible avec le système d'exploitation Linux
"Depuis Akira (1988), dessin animé qui a fait date dans l'histoire du cinéma, Katsuhiro Otomo n'avait g
"Depuis Akira (1988), dessin animé qui a fait date dans l'histoire du cinéma, Katsuhiro Otomo n'avait guère donné de nouvelles (hormis comme scénariste de l'impressionnant Metropolis de Tezuka). Il revient avec un film tout aussi apocalyptique qu'Akira, et au schéma similaire, mais situé au XIXe siècle en Angleterre. Un XIXe siècle de folie, où la propulsion à vapeur a suscité la création d'engins monstrueux.C'est en fait une transposition de l'anticipation cyberpunk dans un passé à la Jules Verne. L'histoire de Ray, un petit Prométhée moderne qui s'est emparé de la "steamball", appareil concentrant la vapeur à un degré insensé, convoité par deux gangs d'inventeurs rivalisant en imagination pour concevoir des armes destructrices. Graphiquement splendide, ce plus gros budget de l'anime nippone, d'une complexité visuelle sans équivalent, confine à l'abstraction organique.Cet enfer d'engrenages, de pistons, de bielles, de soldats-robots s'entredétruisant avec fracas et violence ne relève pas d'une réflexion pacifiste comme chez Miyazaki son Château dans le ciel est une prémisse bucolique de Steamboy , mais d'une fascination pour la vitesse et le machinisme digne du futurisme italien. L'escalade vers le chaos outrepasse les limites de la narration traditionnelle, débouchant sur une vision proliférante où les échelles sont caduques. Un spectacle décoiffant.A l'encontre de cette vision techno, Oseam apparaît comme le témoin d'un savoir-faire qui se perd. Ici, point de prouesses techniques, ni de paradis machinique, juste une belle histoire, une légende bouddhiste. Livrés à eux-mêmes depuis la disparition de leur mère puis recueillis par un bonze, Gamie, une jeune fille aveugle, et son petit frère Gil-sun vivent dans un monastère. Le garçon ne comprend pas pourquoi sa mère rend visite à sa sœur dans ses rêves, mais ne vient jamais le voir, lui qui a pourtant les yeux grands ouverts. C'est pour développer "les yeux à l'intérieur du corps" que Gil-sun va suivre l'enseignement des moines."
Vincent Ostria"Dix ans d’un développement interminable, le plus gros budget de l’animation japonaise jamais réalisé,
"Dix ans d’un développement interminable, le plus gros budget de l’animation japonaise jamais réalisé, on était en droit d’espérer une secousse digne d’une bombe atomique larguée sur Néo-Tokyo... Au final, on est marqué par un jet de vapeur aussi puissant qu’il est évanescent une fois la porte de sortie franchie... Steamboy est une véritable claque graphique, aucune contestation à faire là-dessus... Avec des effets encore jamais vus, des plans renversants, une animation sans faille et un travail de reconstitution de l’Angleterre victorienne absolument fabuleux, Steamboy en met plein la vue... "
Richard Vantielcke"Bien loin a priori de la noirceur d’Akira et de ses ados no future bourrés d’amphétamines, Steambo
"Bien loin a priori de la noirceur d’Akira et de ses ados no future bourrés d’amphétamines, Steamboy prend pour cadre un univers familier, l’Angleterre victorienne de la révolution industrielle, et met en scène un gentil garçonnet propre sur lui parti sauver le monde des griffes d’une effroyable corporation. Cet aspect doublement vieillot est contrebalancé par le recours aux techniques dernier cri du numérique et des truquages visuels. Le résultat est assez ambigu : une manière de faire du vieux avec du neuf. Ce qui, vu le niveau des talents déployés, demeure envers et contre tout forcément passionnant."
Vincent MalausaNos offres d'abonnement
BASIQUE ETUDIANTS
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 4,99€ /mois
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 6,99€ /mois
PREMIUM
9 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
15 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
*A l'exception des films signalés
BASIQUE ETUDIANTS
49 | ,99€ |
/an |
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
69 | ,99€ |
pour 1 an |
PREMIUM
99 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
175 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
Vous devrez fournir un justificatif de scolarité (carte étudiante ou certificat, en .pdf ou .jpg).
UniversCiné se réserve le droit d'annuler l'abonnement sans possibilité de remboursement si la pièce
jointe envoyée n'est pas conforme.
Offre valable 12 mois à partir de la date de l'abonnement
_TITLE