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Viviane Amsalem demande le divorce depuis trois ans, et son mari le lui refuse. En Israël, seuls les Rabbins peuvent prononcer un mariage et sa dissolution...
Viviane Amsalem demande le divorce depuis trois ans, et son mari, Elisha, le lui refuse. Or en Israël, seuls les Rabbins peuvent prononcer un mariage et sa dissolution, qui n'est elle-même possible qu’avec le plein consentement du mari. Sa froide obstination, la détermination de Viviane de lutter pour sa liberté, et le rôle ambigu des juges dessinent les contours d’une procédure où le tragique le dispute à l'absurde, où l'on juge de tout, sauf de la requête initiale.
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" Deux heures entre quatre murs gris, sans autre action que le débat entre les parties et les juges : le dispositif thé&a
" Deux heures entre quatre murs gris, sans autre action que le débat entre les parties et les juges : le dispositif théâtral mis en place par Ronit et Shlomi Elkabetz peut effrayer. Crainte vite dissipée par la puissance de la tragédie qui se joue ici et dont la caméra enregistre cliniquement les soubresauts, sans partialité. Du cinéma, il y en a partout, dans cette histoire originale formidablement dialoguée, dans la cohérence et la persistance du point de vue (toujours celui du personnage qui parle), dans la composition des cadrages, dans la qualité de l’interprétation... Mais évidemment, ce que l’on retient, c’est le portrait saisissant que les Elkabetz dressent en creux de leur pays, à la fois moderne et féodal en ce qui concerne la condition de la femme, irréductiblement liée au bon vouloir des hommes. Le constat, implacable, fait froid dans le dos."
Christophe Narbonne" Après Prendre femme (2005) et Les Sept Jours (2008), les frère et soeur Ronit et Shlomi Elkabetz poursuivent l'exam
" Après Prendre femme (2005) et Les Sept Jours (2008), les frère et soeur Ronit et Shlomi Elkabetz poursuivent l'examen du même couple : Ronit Elkabetz joue toujours l'épouse, avec ce beau masque d'âpreté tragique qu'on lui connaît. Quant à Eliahou, l'insupportable et pourtant touchant mari, beau spécimen de « victime » passive-agressive, il est toujours incarné par Simon Abkarian. Les deux premiers films, déjà très forts, évoquaient une relation conjugale malade. Cette fois, il s'agit d'en montrer l'agonie. Lente, très lente. Durant presque deux heures — et cinq ans de la vie des personnages ! —, les cinéastes nous enferment dans le huis clos du tribunal et de sa salle d'attente. Ce dispositif crée un véritable langage visuel : on touche, presque physiquement, les murs d'une société machiste, étouffée par des lois archaïques. De convocations en renvois d'audience, le mari s'accroche. A une femme qu'il aime encore, mais aussi à sa respectabilité, à ses repères, même s'ils sont saccagés, obsolètes. On subit, autant que l'héroïne, cette obstination de plus en plus torturante, cette procédure de plus en plus absurde. Autopsie d'un couple, d'un système, le récit tire sa force de ce qui pourrait apparaître comme son principal défaut : sa fixité. Ankylose juridique, affective, narrative... Nous ne voyons jamais l'extérieur, mais l'extérieur vient à nous, par bourrasques successives : voisins, beaux-frères, copines, toute la classe moyenne séfarade israélienne semble rassemblée — et croquée — pour témoigner, se mentir, s'engueuler, dans un formidable concours de mauvaise foi, souvent très drôle, toujours cruel. Un grand film sur la condition féminine. La condition humaine, en général."
Cécile Murymiklo au sujet de
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