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Lorsqu'ils étaient légionnaires en Afghanistan, Markov a sauvé Hamilton d'une mort certaine. Aujourd'hui, c'est lui qui a besoin d'aide ; et son fils de 10 ans.
Détachés en Afghanistan pour 6 mois, les légionnaires Markov et Hamilton sont pris en embuscade lors d’une expédition non autorisée par leur hiérarchie. Markov sauve Hamilton, grièvement blessé par des tirs rebelles, mais quitte la Légion sans les honneurs. De retour à Paris, Hamilton, convalescent, souhaite rester légionnaire, tandis que Markov, désormais civil et sans papiers, tente de s’en sortir avec son fils Khadji. Hamilton prête son identité civile à son ami tchétchène, pour qu’il puisse travailler légalement. Mais un jour, Markov disparaît, laissant Hamilton désorienté et Khadji seul au monde.
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" De Sarah Leonor, on se souvient d'Au voleur, échappée poétique avec un Guillaume Depardieu sec et à vif, dans l'un de ses derniers rôles.
" De Sarah Leonor, on se souvient d'Au voleur, échappée poétique avec un Guillaume Depardieu sec et à vif, dans l'un de ses derniers rôles. Cette fois, la réalisatrice plonge dans un univers d'hommes (la guerre, la franche camaraderie, le courage, la loyauté) qui rappelle Beau Travail, de Claire Denis, mais en plus doux, grâce au personnage de l'enfant. C'est presque un homme, déjà, qui fugue et se débrouille comme un grand, tandis que l'ami de son père a l'air d'un enfant hyper nerveux. Quelque chose d'instinctif et de dépaysant se noue entre ces deux marginaux, à travers un Paris et une France filmés comme une terre étrangère. Malgré quelques flottements dans le scénario, l'émotion affleure, avec beaucoup de pudeur, peu de mots et un symbolisme particulièrement séduisant."
Jacques Morice" Pour construire ce récit traversé par des problématiques de société qui font rarement les grands films (sans-papiers, exil, surdité des in
" Pour construire ce récit traversé par des problématiques de société qui font rarement les grands films (sans-papiers, exil, surdité des institutions…), Sarah Leonor a mis dans le mille de la modernité et du romanesque.
(...) Outre la délicatesse de la mise en scène, Le Grand Homme doit aussi beaucoup à son trio de comédiens, Jérémie Renier, en dépit d’une filmographie bien remplie (33 ans, 50 films), réussissant une fois encore le tour de force de surprendre, ici dans le registre du dur-à-cuire. Construit en segments de durée sensiblement équivalente, manière de dire qu’aucun des personnages n’est réellement le héros de cette histoire, le film déroule alors une mécanique de tragédie où les héros, faute de mieux, se mesurent aux rouages rouillés d’une société à bout de souffle. Les épreuves n’en sont pas moins dures et, finalement, la leçon est toujours aussi cruelle. Etre un homme, un grand homme, c’est comprendre que l’on va mourir, et que personne d’autre que soi-même ne pourra reconnaître sa bravoure et son sens de l’honneur."
" Dans le sillage des plus grands cinéastes (Hawks, Renoir… toutes proportions gardées, mais le paradigme est identique), le cinéma de Sarah
" Dans le sillage des plus grands cinéastes (Hawks, Renoir… toutes proportions gardées, mais le paradigme est identique), le cinéma de Sarah Leonor croit aussi à l’intelligence des êtres, et à la capacité du cinéma à la montrer, elle et l’humanité : ce que c’est qu’être un homme, ce mélange de sauvagerie et de maîtrise de ses pulsions traversé par des rêves. C’est en cela que Le Grand Homme échappe radicalement à ce qu’il y a de plus petit et ras des pâquerettes dans beaucoup de films volontiers comportementalistes, descriptifs, mais sans inconscient, sans imaginaire de fond.
Leonor, qui progresse de film en film, sait le pouvoir du romanesque, qui donne à la réalité un relief inestimable et qui fait que, parfois, le cinéma peut être un art."
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