
Salomé Blechmans : "Le réalisateur nous parlait d'un film-guerilla..."
VIDEO | 2013, 3' | La jeune actrice s'est embarquée avec enthousiasme dans l'aventure d'un film hors-normes, ce...
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De multiples histoires qui se croisent sans s'influencer pour devenir une représentation symbolique des complexités relationnelles de notre époque.
Une enseignante s’engage dans une relation ambiguë avec le cancre de sa classe de lycée professionnel ; une jeune femme déçue en amour décide de court-circuiter tous ses critères conscients et inconscients de choix, en sortant littéralement avec le premier venu ; la dernière histoire met en scène une jeune fille agnostique qui va être amenée à se poser des questions sur la religion chrétienne. Elle va au cours de son questionnement rencontrer un jeune homme un peu marginal et très croyant. Toutes ces histoires se croisent sans s’influencer, et trouvent une symbolique dans le lever de soleil qui donne son nom au film : Donoma signifie le jour est là...
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"La forme cinématographique de Donoma est enthousiasmante, inventive,maîtrisée. Remarquable aussi est sa tentation
"La forme cinématographique de Donoma est enthousiasmante, inventive,maîtrisée. Remarquable aussi est sa tentation de regard global. Les personnages sont jeunes, mais déjà aux prises avec des problèmes d'adultes. Ils ne sont ni en guerre ni en paix. Ce jeune cinéaste inconnu déambule dans les destins de ses personnages et mine de rien, en toute liberté, pose les questions fondamentales à toute existence."
Retrouvez le texte complet sur le site de l'ACID.
L'ACID est une association née en 1992 de la volonté de cinéastes de s'emparer des enjeux liés à la diffusion des films, à leurs inégalités d'exposition et d'accès aux programmateurs et spectateurs. Ils ont très tôt affirmé leur souhait d'aller échanger avec les publics et revendiqué l'inscription du cinéma indépendant dans l'action culturelle de proximité.
Joël Brisse" ... construit comme un long match de boxe au montage virtuose. Chaque séquence fonctionne comme un round où la cam&eacu
" ... construit comme un long match de boxe au montage virtuose. Chaque séquence fonctionne comme un round où la caméra se bat avec la lumière et les ombres (qui dévorent littéralement le cadre par ses bords), les mots (qui fusent, brillants, incandescents), les visages (des acteurs, tous inconnus et excellents, sans exception)."
Jacky Goldberg" Quelle que soit l’amicale qui s’est créée autour du film et son habileté à manier le vocabula
" Quelle que soit l’amicale qui s’est créée autour du film et son habileté à manier le vocabulaire de l’antisystème («sortie guérilla», «buzz movie»…), elle ne suffit pas à exprimer le poids réel du film. Donoma, en fait et sans se soucier outre mesure de ses secrets de fabrication, est tout sauf bricolé. Ce qui impressionne au contraire dans ce premier long métrage, c’est sa maturité et l’acuité du regard qu’il porte sur l’époque. Jeux des acteurs plus que saisissants, montage virtuose entrelaçant les fils narratifs, effet de transe progressive."
Gérard Lefort et Didier Péron" Film choral, Donoma suit des couples qui se font et se défont à travers le destin de trois femmes : une enseignante su
" Film choral, Donoma suit des couples qui se font et se défont à travers le destin de trois femmes : une enseignante sulfureuse, une jeune photographe qui décide de se mettre en couple avec le premier inconnu qu'elle croisera dans le métro et une adolescente ballottée entre sa sœur leucémique, un petit ami de plus en plus distant, et une soudaine crise mystique. Donoma filme ces jeunes plus ou moins métissés, plus ou moins riches, banlieusards ou parisiens, se rencontrer, se croiser, s'aimer, se repousser, se rater, dans une série de lieux ordinaires : un lycée professionnel, une gare RER, un appartement parisien exigu...
Alternant des séquences hyperréalistes quasi-documentaires, caméra à la main, et des scènes à l'humour ou à l'onirisme extravagant, Donoma est un film aux multiples facettes : à la fois drôle et irrévérencieux, sensuel et bavard, intello et vulgaire. Il capte la complexité de l'air du temps, les angoisses et les incertitudes d'une époque et d'une génération (...) il s'agit d'aborder sous différents angles cette question simple : pourquoi aime-t-on quelqu'un ? Djinn Carrénard interroge les critères conscients et inconscients qui guident les choix amoureux. Sans nier les logiques bien connues du désir, il met en évidence une composante moins évidente du désir, d'ordre économique.
Dans Donoma, le sentiment amoureux est soumis au monnayage : un baiser est donné au prix d'une cigarette, un rapport sexuel se négocie comme un contrat, une relation naît parce qu'un homme a besoin d'être hébergé sur Paris... Entre romantisme et pragmatisme, Carrénard propose un réalisme nouveau qui oublie la noblesse des sentiments traditionnellement présentés au cinéma pour explorer la nouvelle complexité des choix sentimentaux que fait émerger le néo-libéralisme. Donoma, c'est aussi des dialogues d'une véracité inédite dans le cinéma français (sauf peut-être chez Abdellatif Kechiche), servis par des acteurs souvent épatants de justesse. Les personnages parlent cru, se taisent parfois longtemps, bafouillent, bredouillent, se répètent, se charrient, s'insultent... Ce résultat est le fruit d'une technique d'improvisation dirigée où les acteurs, tout en suivant les mouvements émotionnels que leur dicte le réalisateur, peuvent choisir leurs propres mots, leur propre énergie, pour les exprimer... "
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