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A la prison des Baumettes, quelques prisonniers, sur les 2 000 détenus qui s'entassent dans 30 000 mètres carrés, racontent leur parcours et leur quotidien.
25 jours en immersion dans la prison des Baumettes. 30 000 mètres carrés et 2 000 détenus dont la moitié n’a pas 30 ans. Une prison qui raconte les destins brisés, les espoirs, la violence, la justice et les injustices de la vie. C’est une histoire avec ses cris et ses silences, un concentré d’humanité, leurs yeux dans les nôtres.
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"Inviter une caméra dans l’univers carcéral des Baumettes relève de la pure gageure. Pure gageure, car avant
"Inviter une caméra dans l’univers carcéral des Baumettes relève de la pure gageure. Pure gageure, car avant même de faire la rencontre intime avec ces hommes blessés, méfiants, il faut convaincre l’administration pénitentiaire et la justice qu’elles acceptent de soumettre au regard du spectateur et d’une caméra, l’horreur de la prison. La chance immense que nous offrent Jean-Robert Viallet et Alice Odiot de rentrer dans le monde carcéral, demeure en soi un véritable acte de bravoure. Les réalisateurs sont parvenus à l’inimaginable, à une époque où les prisons françaises sont au bord de l’explosion, où les condamnations contre la France se multiplient, au regard de l’état d’insalubrité des maisons d’arrêt. En cela, avant même de nous immerger dans le film, l’exploit cinématographique est remarquable."
Laurent Cambon"Derrière les barreaux immuables et une virilité érigée comme bouclier, quelques failles apparaissent chez
"Derrière les barreaux immuables et une virilité érigée comme bouclier, quelques failles apparaissent chez ces hommes, et permettent de provoquer l’empathie comme le sourire. On peut penser à Raymond Depardon, chez lequel les interrogatoires de Délits flagrants (1994) peuvent révéler une dimension comique. L’humour est ici alimenté par le contraste entre le cadre carcéral et la vie qui continue avec légèreté, à l’image d’une scène de chant avec trois prisonniers qui claquent des mains en guise de rythmique, faisant oublier la situation judiciaire. Il s’agit ainsi surtout d’une parenthèse enchantée."
Benoît Basirico"l y a deux films dans Des hommes. Le premier est inquiétant, belliqueux, viril. C’est un film de genre, un film de p
"l y a deux films dans Des hommes. Le premier est inquiétant, belliqueux, viril. C’est un film de genre, un film de prison, avec ses codes et ses motifs. Ce film-là commence sur l’image d’un homme emprisonné. Son corps ne tient pas en place, il tourne sur lui-même comme un lion dans sa cage. La lumière est basse, la musique sourde, suffocante. La dramaturgie anxiogène fonctionne à merveille. Elle est d’une efficacité redoutable. La folie est toute proche mais suffisamment loin de nous, empêchée par une porte vitrée, pour ne pas nous happer totalement."
Marilou Duponchel"Donner la parole à ces hommes, nous donner à voir ces fragments de vie c'est reconstruire leur destin. Cette libert&
"Donner la parole à ces hommes, nous donner à voir ces fragments de vie c'est reconstruire leur destin. Cette liberté d'écriture prise par les cinéastes est un geste esthétique et politique dont on sort grandi."
Retrouvez le texte complet sur le site de l'ACID.
L'ACID est une association née en 1992 de la volonté de cinéastes de s'emparer des enjeux liés à la diffusion des films, à leurs inégalités d'exposition et d'accès aux programmateurs et spectateurs. Ils ont très tôt affirmé leur souhait d'aller échanger avec les publics et revendiqué l'inscription du cinéma indépendant dans l'action culturelle de proximité.
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