UniversCiné utilise des cookies afin de vous offrir une expérience utilisateur optimale.
En les acceptant vous nous permettez d’améliorer nos services, de mesurer notre audience, de personnaliser votre expérience et vous pourrez bénéficier des fonctionnalités relatives aux réseaux sociaux.
Vous pouvez personnaliser vos choix en cliquant sur « PERSONNALISER » et obtenir davantage d'informations en consultant notre politique de gestion des cookies.
This is a modal window.
Début de la fenêtre de dialogue. La touche d'échappement annulera et fermera la fenêtre.
Fin de la fenêtre de dialogue.
Disponible dans l'offre d'abonnement
Disponible dans l'offre d'abonnement
Contrairement à sa sœur qui a choisi une autre voie professionnelle, une récente diplômée est vite fascinée par l'art ancestral de la cérémonie du thé.
Noriko et Michiko viennent de terminer leurs études. Elles ne savent pas encore très bien quelle carrière embrasser. En attendant qu'elles se décident, leurs parents les poussent à étudier la cérémonie du thé. Noriko traîne des pieds pour se rendre dans une petite maison traditionnelle de Yokohama où officie Madame Takeda, son exigeante professeure. Contre toute attente, la jeune femme est vite fascinée par cet art séculaire. Michiko, quant à elle, n'est pas du tout séduite et décide de faire comme bon lui semble…
Le lecteur n'est pas installé ?
Pour votre information, la lecture en mode hors-ligne n'est pas compatible avec le système d'exploitation Linux
"Il y a quelque chose du poétique Paterson (2016) de Jim Jarmusch dans le long-métrage de sagesse que nous livre le cinéaste
"Il y a quelque chose du poétique Paterson (2016) de Jim Jarmusch dans le long-métrage de sagesse que nous livre le cinéaste japonais Tatsushi Omori (né en 1970), Dans un jardin qu’on dirait éternel – son premier film qui sort en salle en France. Ici, point de chauffeur de bus et amateur de haïkus (Adam Driver), mais une dame qui enseigne l’art du thé comme une philosophie de la vie, Mme Takeda, incarnée par l’inoubliable Kirin Kiki, icône du cinéma japonais morte en 2018 à l’âge de 75 ans, muse de Naomi Kawase et de Hirokazu Kore-eda.
L’actrice au regard facétieux fait sa dernière apparition au cinéma dans le rôle d’une « maîtresse de thé », maniant le bol en céramique et le petit fouet pour le matcha devant ses apprenties ébahies. Pour un peu, la bienveillance et la puissance de son personnage la feraient passer pour un alter ego féminin de maître Yoda dans Star Wars… L’art du thé, c’est toute une aventure. (...)"
Retrouvez l'intégralité de la critique sur Le Monde.
"(...) Dans un Jardin qu’on dirait éternel est un film profondément féminin, et sa réussite tient grandement à l’interprétation de ses
"(...) Dans un Jardin qu’on dirait éternel est un film profondément féminin, et sa réussite tient grandement à l’interprétation de ses actrices, à commencer par Madame Takeda. La professeure, particulièrement émouvante, est interprétée par la regrettée Kirin Kiki dont il s’agit là du dernier film, et qui avait marqué les mémoires ces dernières années dans les films de Hirokazu Kore-eda (Tel père, tel fils ou Une affaire de famille) ou de Naomi Kawase (Les délices de Tokyo). Face à elle, Haru Kuroki est tout aussi touchante dans le rôle de Noriko. L’actrice qui a remporté l’Ours d’argent en 2015 apporte sa douceur et sa candeur à cette jeune fille qui cherche à donner du sens aux choses de la vie.
Derrière la caméra, Tatsushi Ōmori a su retranscrire la dualité d’une société japonaise et de ces femmes, à la fois ancrées dans la tradition, tout en étant bien de leur époque. Pour coller au plus près de son histoire et de la poésie de cet art, il s’est appliqué à tourner dans un véritable pavillon de thé, avec les contraintes que cela implique, notamment en matière d’espace. Cette recherche d’authenticité passe aussi par la lumière naturelle qui permet de ressentir le rythme des saisons, de même qu’un soin particulier apporté aux sons provenant de la nature extérieure, et qui contrastent avec le silence qui règne à l’intérieur du pavillon.
Le rapport au temps est un élément central du film et du rituel. Pour l’illustrer, le réalisateur japonais fait plusieurs références au film La Strada de Federico Fellini. Noriko l’évoque à trois étapes de sa vie, exprimant un ressenti différent à chaque fois : D’abord, l’incompréhension d’une enfant devant cette œuvre, puis le regard passionné d’une jeune femme, et enfin l’émotion nostalgique d’une femme à l’automne de sa vie. (...)"
Retrouvez l'intégralité de la critique sur le Bleu du Miroir.
"(...) Dans un jardin qu’on dirait éternel constitue une expérience cinématographique qui rend joyeux et amène le spectateur à intérior
"(...) Dans un jardin qu’on dirait éternel constitue une expérience cinématographique qui rend joyeux et amène le spectateur à intérioriser son propre rapport à la vie. La beauté de la mise en scène est incontestable. Tatsushi Ōmori se plaît à raconter des histoires, tout en entraînant le spectateur dans un bain de sensations inédites. La musique, la couleur, la lumière provoquent un effet d’apaisement, comme si nous avions été aussi les invités à participer à ces mystérieuses leçons de thé."
Nos offres d'abonnement
BASIQUE ETUDIANTS
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 4,99€ /mois
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 6,99€ /mois
PREMIUM
9 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
15 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
*A l'exception des films signalés
BASIQUE ETUDIANTS
49 | ,99€ |
/an |
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
69 | ,99€ |
pour 1 an |
PREMIUM
99 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
175 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
Vous devrez fournir un justificatif de scolarité (carte étudiante ou certificat, en .pdf ou .jpg).
UniversCiné se réserve le droit d'annuler l'abonnement sans possibilité de remboursement si la pièce
jointe envoyée n'est pas conforme.
Offre valable 12 mois à partir de la date de l'abonnement
_TITLE