UniversCiné utilise des cookies afin de vous offrir une expérience utilisateur optimale.
En les acceptant vous nous permettez d’améliorer nos services, de mesurer notre audience, de personnaliser votre expérience et vous pourrez bénéficier des fonctionnalités relatives aux réseaux sociaux.
Vous pouvez personnaliser vos choix en cliquant sur « PERSONNALISER » et obtenir davantage d'informations en consultant notre politique de gestion des cookies.
This is a modal window.
Début de la fenêtre de dialogue. La touche d'échappement annulera et fermera la fenêtre.
Fin de la fenêtre de dialogue.
Il obtient un diplôme de cinéma à l’Université de Santa Barbara puis un master en cinéma à l’USC. Il produit et réalise son premier film Three Bewildered People In The Night en 1987 : une romance entre une artiste vidéo, son amant et son ami homosexuel. Ce film remporte trois prix à Locarno.
En 1989, il tourne The Long Weekend (O’Despair) en 16mm, en noir et blanc et pour un budget de 5 000 $, tout comme son 1er film. Le cinéaste, remarqué pour son anticonformisme, émerge véritablement en 1992 avec The Living End, un film sur deux amants gays et porteurs du virus HIV, qui rompt avec ses précédentes oeuvres par sa dimension beaucoup plus tragique.
En 1994, il commence sa trilogie « Teen Apocalypse» avec Totally F***ed Up, puis persévère dans la subversion en signant The Doom Generation (1995), un road movie trash à l’humour désespéré. Il termine ce cycle en 1997 avec Nowhere, décrit par le metteur en scène comme « un épisode de Beverly Hills 90210 sous acide ». Kaboom, présenté au Festival de Cannes 2010 (hors compétition) a été perçu comme un retour/hommage à ses premiers films "furieusement adolescents".
En 1999, Gregg Araki dirige Kathleen Robertson, déjà présente au générique de Nowhere, dans la comédie Splendor.
Après un passage par le petit écran, Gregg Araki est acclamé par la critique en abordant le sujet tabou de la pédophilie avec Mysterious Skin (2005), une adaptation du roman éponyme de Scott Heim. Un film qui tranche complètement avec le reste de son oeuvre par son approche extrêmement délicate.
Avec Smiley Face, présenté à la Quinzaine des Réalisateurs en 2007, Araki revient au délire joyeux et bordélique, sexe et drogue en fers de lance du scénario. Kaboom, en 2010, est sa deuxième incursion au Festival de Cannes.
_TITLE