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Josh et Cornelia Srebnick, la quarantaine, mariés et heureux en ménage, font la rencontre d'un jeune couple désinhibé. Une porte vers leur jeunesse s'ouvre.
Josh et Cornelia Srebnick, la quarantaine, sont mariés et heureux en ménage. Ils n’ont pas réussi à avoir d’enfants mais s’en accommodent. Alors que Josh s’acharne sur le montage de son nouveau documentaire, il devient évident que l’inspiration n’est pas au rendez-vous. Il lui manque quelque chose... La rencontre de Jamie et Darby, un jeune couple aussi libre que spontané, apporte à Josh une bouffée d’oxygène et ouvre une porte vers le passé et la jeunesse qu’il aurait aimé avoir...
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" Il faut bien s’y faire. Désormais, à 40 ans, on est vieux, à la ramasse, bon à la casse. Avec tous
" Il faut bien s’y faire. Désormais, à 40 ans, on est vieux, à la ramasse, bon à la casse. Avec tous les corollaires qui s’attachent à la vétusté: l’arthrose, la ringardise, la sinistrose, l’égocentrisme et la vanité. C’est du moins le postulat de While We’re Young, le film aussi drôle que féroce de Noah Baumbach, à qui on doit le très remarqué Frances Ha. (...)
Le spectacle serait pathétique si Noah Baumbach, notre nouveau Woody Allen, n’en avait tiré une comédie savoureuse sur le choc des générations et les mystères du fashion style : aux plus jeunes, les vinyles, les VHS et les Underwood mécaniques; aux plus vieux, les iPad et l’abonnement Netflix. Quel que soit votre âge, ne manquez pas ce film, le plus grinçant et le plus rafraîchissant du mois de juillet."
" Noah Baumbach met en scène la crise de la quarantaine. (..) . L’autre thème abordé, celui de la vér
" Noah Baumbach met en scène la crise de la quarantaine. (..) . L’autre thème abordé, celui de la vérité en art – Josh, Jamie et Leslie, le père de Cornelia, sont documentaristes – est bien plus passionnant. À travers son questionnement, le cinéaste interroge la fiction qui se déroule sous nos yeux et offre même, avec le discours de Leslie (Charles Grodin), un moment d’anthologie."
Isabelle Danel" Entre scènes de couple mythiques, caprices d’ados attardés, remarques très justes sur les petits travers d
" Entre scènes de couple mythiques, caprices d’ados attardés, remarques très justes sur les petits travers des hipsters, considération de fond sur ce que veut dire s’accomplir, Noah Baumbach mesure parfaitement la rêverie et l’hystérie, selon une recette unique et irrésistible. Porté par un quatuor de comédiens sublimes, ce « petit » film tout en tonalités acidulées est certainement la grande comédie de l’été 2015…"
Yaël" Baumbach se distingue par une grande attention aux détails (notamment ici aux signes du hipstérisme triomphant, &eacut
" Baumbach se distingue par une grande attention aux détails (notamment ici aux signes du hipstérisme triomphant, épinglés avec une grande drôlerie), une acuité au présent et une forme de modestie aussi, qui le fait payer son tribut aussi bien aux anciens qu’aux plus jeunes que lui.
Il a précisément, en tant que cinéaste, la souplesse qui manque à son personnage principal, s’autorisant à puiser tantôt chez Bergman (dans Les Berkman se séparent ou Margot va au mariage), tantôt chez Truffaut ou encore dans le mumblecore (dans Frances Ha ou ici). Il s’affirme ainsi de plus en plus comme un cousin américain d’Arnaud Desplechin, qui aurait fait sien l’adage suivant : qu’importe le flacon (filmique), pourvu qu’on ait l’ivresse. "
" Concentré avant tout sur les deux personnages masculins, Noah Baumbach tient une paire d'acteurs idéale pour ce due
" Concentré avant tout sur les deux personnages masculins, Noah Baumbach tient une paire d'acteurs idéale pour ce duel truqué. Adam Driver, établi comme un emblème branché de Brooklyn par la série Girls, réjouit dans la fausse timidité et l'ambiguïté morale. Et avec l'histrion fatigué Ben Stiller, le cinéaste approfondit le travail drôle et cruel, manifestement autobiographique, entrepris dans Greenberg (2010) : déjà l'histoire d'un quadra aimanté par une jeunesse qui, à la fois, l'enfonçait et le sauvait."
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