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Un homme et une femme, victimes d'une larve qui permet de prendre le contrôle d'une personne, se rencontrent et tentent de comprendre ce qui leur est arrivé...
Dans le terreau de certaines plantes se trouve une larve aux étranges vertus. Introduite dans l'organisme humain, elle permet de manipuler l'hôte inconscient de ce qui lui arrive. Victime de cette expérience, Kris se retrouve dépossédée de ses biens, et finalement de sa vie. Elle rencontre Jeff qui semble avoir vécu la même intoxication. Ensemble, il essaient de se réapproprier leurs souvenirs et de comprendre ce qui leur est arrivé... Une pépite indé mystérieuse et envoûtante, prix spécial du jury au festival de Sundance 2012, par le réalisateur de "Primer".
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"Kris ne cesse d’avoir des révélations au contact des choses. De la maladie naît une extra sensorialité
"Kris ne cesse d’avoir des révélations au contact des choses. De la maladie naît une extra sensorialité, comme une osmose avec les éléments : les mains se tendent, la peau affleure, les doigts effleurent. Ce grand sens du geste, du mouvement confine au rite secret dont l’interprétation n’appartient qu’aux héros… et au réalisateur. Il y a dans Upstream Color, des moments de fascinations cellulaires, de microscopie gracieuse et sibylline. En cette fusion des sons et des couleurs, les images ne font sens que par leur profond mystère. Certains parleront de film prétentieux ; nous préférons voir un objet précieux et exigeant, ouvert au spectateur car l’invitant à s’y frayer un chemin, à y flotter – entre inquiétude et apaisement – aidé par la très belle musique composée par Shane Carruth lui-même. Il n’est pas si courant qu’une œuvre appartienne aussi intégralement à son réalisateur : tout comme son excellent premier long métrage Primer, Shane Carruth ne se contente pas d’écrire son film. Il en assure la photo et en est l’un des interprètes principaux ; son très beau montage procède par associations et sauts inattendus, mirages poétiques qu’il convient de décrypter ou d’apprécier comme une mélodie particulière, à la manière d’une odeur qui nous attire."
Olivier Rossignot"Si les petits cochons ne mangent pas Shane Carruth, il a tout pour devenir un cinéaste important. Certes, cela prend un certain
"Si les petits cochons ne mangent pas Shane Carruth, il a tout pour devenir un cinéaste important. Certes, cela prend un certain temps : depuis le tournage son premier film, Primer, en 2002 – où quelques informaticiens créent une machine à voyager dans le temps dans leur garage –, l’acteur-réalisateur n’a pu en mener à bien qu’un deuxième, Upstream Color. Cet inclassable film fantastique a fait de Carruth une légende underground aux États-Unis ; un réalisateur que la profession respecte, pour sa maîtrise et la force évocatrice de son travail, tout en se demandant où il veut en venir. C’est l’impression globale que donne Upstream Color, dérive impressionnante et énigmatique à la fois, mêlant amour et expérimentation. Au départ, un acte étrange : un ver parasite est inoculé à une femme, qui fait d’elle un zombie docile à qui l’on dérobe toutes ses possessions. Puis cette femme rencontre un homme victime du même traitement, dont elle tombe amoureuse. Ce n’est qu’un aspect d’un film difficile à résumer, qui fonctionne par allusions, et dans lequel des images documentaires quasi scientifiques alternent avec des visions oniriques. La BO électronique composée par le réalisateur romantise ce récit déconstruit et halluciné. Une œuvre aux antipodes du produit industriel insipide et facile à ingurgiter qui nous intrigue, nous travaille et nous hante."
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