
Michel Galabru : " Qui le verrait, verra..."
VIDEO | 2016, 5' | Michel Galabru évoque sa participation remarquable de grand-père légèrement indigne dans Un p...
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De retour au village pour sa confirmation, Anna, 14 ans, rencontre Pierre. Une part secrète d’elle-même cherche à se donner corps et âme, à Dieu ou autre chose.
Anna, une adolescente de 14 ans, quitte l’internat et rejoint son village. Elle doit profiter des vacances pour faire sa confirmation, dernière étape dans son engagement catholique. A son arrivée, elle découvre que son père vient de quitter la maison. Sa mère, effondrée par cet abandon, trouve refuge auprès d’un prêtre et ami d’enfance. Anna se raccroche à son grand père, qu’elle adore. Elle se rapproche aussi de Pierre, un adolescent libre et solaire, qui se soucie peu de Dieu. Mais la naissance de son désir pour ce garçon la fait vaciller. Une part secrète d’elle-même cherche à se donner corps et âme, à Dieu ou à quelque chose d’autre...
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" Spiritualité, inquiétude, érotisme balbutiant : ce premier film découvert à Cannes (et prix Jean-Vigo 2010) navigue avec délicatesse,
" Spiritualité, inquiétude, érotisme balbutiant : ce premier film découvert à Cannes (et prix Jean-Vigo 2010) navigue avec délicatesse, au même rythme que sa (d'abord) pieuse héroïne. Anna s'endort avec une icône du Christ pressée contre sa poitrine mais accepte, sans minauder, de montrer ses seins à son tout jeune ami... Dans le ciel troublé de la jeune fille, le seul coin qui reste bleu est la tendre complicité qui l'unit à son grand-père, jouisseur de la dernière heure. Le temps d'une partie de Puissance 4 ou d'un petit déjeuner au lit, ils trouvent, ensemble, une façon d'affronter la mort.
Katell Quillévéré, 30 ans, mène ce récit d'initiation sur un mode impressionniste, avec d'authentiques éclats de grâce (...) Déjà experte à choisir et diriger ses acteurs, la réalisatrice révèle des visages familiers sous des angles inconnus : Lio étonne, à contre-emploi, en catholique provinciale, en mère jalouse de sa fille. Et Michel Galabru, le pépé égrillard et lucide, trouve l'un de ses plus beaux rôles..."
" Quand la quête du sacré -sujet en voie de disparition- se télescope avec les poussées de sève, on tient là un très beau personnage, qui f
" Quand la quête du sacré -sujet en voie de disparition- se télescope avec les poussées de sève, on tient là un très beau personnage, qui fait devant nous l'expérience grave et contradictoire, douce et violente, de la solitude et de la liberté."
François Guillaume-Lorrain"Cet argument serait mignon (roman d’apprentissage, confidence censément autobiographique, et tout le tintouin) si Katell Quillévéré ne l’ap
"Cet argument serait mignon (roman d’apprentissage, confidence censément autobiographique, et tout le tintouin) si Katell Quillévéré ne l’approfondissait pas de quelques gravités nettement moins transparentes. L’usage du catholicisme à des fins quasi vaudous, le pacte d’athéisme et d’hédonisme entre le grand-père et sa petite-fille, le déni de toute publicité pour les paysages (la somptuosité attestée du mont Saint-Michel de Brasparts réduite à une saynète particulièrement plombée), l’itinéraire surprise de certains plans lorsqu’on les croit sur le chemin du cliché (quand le curé est mûr pour le stupre, c’est la maman pécheresse qui se refuse), l’aliénation de la religion, joyeusement passée au lance-flammes à la faveur d’une seule homélie où l’on entend un vieil évêque tonner contre les tentations de la chair.
Et le mystère de la tendresse, tout entière exprimée par une scène où Anna toilette le corps nu de son grand-père. Un poison violent, c’est ça l’amour. Comme chantait Gainsbourg."
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