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John rentre de voyage accompagné d'une belle aventurière américaine... qu'il a épousé ! Au manoir, les hostilités démarrent fort entre la belle-mère et la bru.
John, jeune Anglais tout fou, rentre de voyage accompagné d'une belle aventurière américaine... qu'il a épousé ! Au manoir, les hostilités sont immédiates entre la belle-mère et la bru. Larita est même soupçonnée d'un passé trouble. La contre-attaque s'organise ! L'adaptation d'un classique de la scène britannique par le réalisateur de "Priscilla folle du désert". So débridé !
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" (...) un humour corrosif, des personnages névrosés ou délicieusement anticonformistes et des situations loufoque
"Ne vous arrêtez pas au titre français (...) ce n'est pas une comédie amoureuse que vous propose ce film, mais
"Parée d'une apparente sagesse dans la mise en scène, cette immersion, au début des années 30, d'un
"...la famille british brille par son exquise cruauté. Kristin Scott Thomas, notamment, propriétaire ruinée, bell
"...la famille british brille par son exquise cruauté. Kristin Scott Thomas, notamment, propriétaire ruinée, belle-mère abusive et sorcière à la Disney. Irrésistible, lorsqu'elle explique à ses domestiques, médusés, qu'une sonnette, c'est fait pour qu'ils viennent à elle et non pas l'inverse...
Joliment mis en valeur par Stephan Elliott (Priscilla, folle du désert), les dialogues crépitent : « Souris ! - Pas envie... - Tu es anglaise, fais semblant ! » Ou encore : « Ah, je pourrais te dévorer ! - Après le repas qu'on a fait ce soir, ça me paraît normal ! » Petites trouvailles signées Noel Coward, dont la chanson Mad about the boy, chantée par Jessica Biel, rythme tout le film. A l'époque, pour lui, c'était une sorte de coming out. Une profession de foi..."
" Adapté d’une pièce de Noël Coward, qui avait déjà inspiré un moyen-métrage &agr
" Adapté d’une pièce de Noël Coward, qui avait déjà inspiré un moyen-métrage à Hitchcock (Easy Virtue, 1927) et une adaptation à Eric Styles (Relative Values, 2000), Un mariage de rêve revisite l’éternelle histoire de la rencontre entre la bru et sa belle-famille, dans le contexte des années 30 (...)Dès le générique, le côté kitch du film est annoncé et on ne peut que prendre à la légère cette petite comédie anglaise, au titre fort ironique. Larita apporte chic et paillettes, blonde platine telle une star de son temps, là où règne l’austérité.
L’arrivée de l’étrangère dans la demeure familiale détonne, ce qui est particulièrement bien rendu par les costumes. Larita incarne la volonté des femmes à avoir une place dans la société, égale des hommes, comme l’illustre sa victoire en début de film à une course automobile, domaine masculin par excellence. L’animosité des femmes de la famille à son égard, est traitée de manière drôlement caricaturale, et le film offre tout le clinquant et la légèreté des situations d’une comédie agréable et sympathique. On finit par s’attacher à Larita et son beau-père (Colin Firth), et on apprécie Kristin Scott Thomas, en femme aigrie et acerbe, si loin de la femme adultère et lascive de Gosford Park !
Avec ce film, le réalisateur de Priscilla, folle du désert aborde une nouvelle fois le thème des différences et du fantasque, avec une implication quasi féministe, prônant émancipation et liberté."
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