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Un implacable robot-tueur débarque du futur avec pour mission d'éliminer une femme qui doit donner naissance au chef de la résistance contre les machines.
À Los Angeles en 1984, un Terminator, cyborg surgi du futur, a pour mission d'exécuter Sarah Connor, une jeune femme dont l'enfant à naître doit sauver l'humanité. Il parcourt la ville en éliminant de manière violente toutes les femmes qui portent ce nom. Kyle Reese, un résistant humain, débarque lui aussi pour combattre le robot, et aider la jeune femme.
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"Le cinéaste canadien nous offre des séquences dignes de blockbusters dotés de budgets dix fois plus importants.&n
"Le cinéaste canadien nous offre des séquences dignes de blockbusters dotés de budgets dix fois plus importants. À ce titre, le triple (triple !?) climax final est un modèle en soi : une course-poursuite effrénée, suivie d’une énorme explosion d’un camion-citerne (en fait une maquette quasiment indécelable à l’œil nu) bourré d’essence, et enfin un mano à mano face à un squelette robotique réalisé en stop-motion. On tient là d’une des demi-heures les plus époustouflantes de l’histoire du cinéma d’action, ni plus ni moins. Ce genre de moment qui laisse ses spectateurs les jambes chancelantes et le cœur pantelant. Sept ans plus tard, Cameron tentera de retrouver la formule de ce succès avec une suite « bigger », « louder » mais pas forcément « better ». Car ce que la suite a gagné en moyens, elle l’a perdu en émotions, là où son prédécesseur représente une sorte d’idéal de cinéma, l’alchimie idéale entre le divertissement indéniablement efficace (107 minutes parfaitement rythmées) et la romance forte (ce que Cameron parviendra à retrouver treize ans plus tard, mais ceci est une autre histoire). On peut le reconnaître non sans amertume : on n’en fait vraiment plus beaucoup, des films comme ça."
Florent Dufour« Ce type de sujet, d’ordinaire, donne lieu à des variations sophistiquées, à de délicieux vert
« Ce type de sujet, d’ordinaire, donne lieu à des variations sophistiquées, à de délicieux vertiges intellectuels. Le réalisateur James Cameron n’étant visiblement pas sujet à ces vertiges, se contente de filmer l’histoire comme une honnête course-poursuite, dont le sel tient à ce que le mutant est proprement indesctructible. »
Emmanuel Carrière"Simple mais pas simpliste. Ce qui étonne le plus au revisionnage du film, c’est son épure, qui le rapproche d
"Simple mais pas simpliste. Ce qui étonne le plus au revisionnage du film, c’est son épure, qui le rapproche d’une certaine forme d’abstraction : peu de dialogues, un scénario mécanique et des personnages efficaces mais somme toute vraiment pas révolutionnaire. Mais ce qui rend le film de James Cameron ascinant, c’est le Terminator. Pas seulement parce que c’est un sommet de badass-erie ultra-cool, mais bien par le concept qu’il représente. Fruit des fantasmes contradictoires des années Reagan, le Terminator est à la fois un fantasme presque érotique de perfection corporelle (il suffit de voir les « naissances » opposées de Kyle Reese et du Terminator, où les nudités sont filmées de façon radicalement différentes) et l’expression d’une crainte technophobe qui envisage la machine comme le remplaçant génocidaire de l’homme. Plus on le craint, et plus il se rend désirable. Plus il est dévastateur à l’écran et plus on veut le voir revenir, car il nous fait apercevoir et désirer ce que l’homme pourrait être une fois débarrassé de la malédiction du corps. Là est l’ambiguïté : nous sommes du côté des humains, mais ne rêvons que d’une chose, passer du côté des machines auquel le film nous compare sans arrêt, pour se transcender et s’extraire de la condition de mortel. Le Terminator est le surgissement de peurs enfouies pour une simple et bonne raison : il est le rappel constant que l’humain est mortel, que nous, spectateurs, sommes mortels par nature, contrairement à la machine, potentiellement immortelle et toute-puissante. Le futur que la machine annonce, c’est littéralement dans le film la mort de toute l’humanité. La mort est le seul horizon final de l’Homme à l’échelle globale, mais aussi de l’homme à l’échelle individuelle."
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