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Il était une fois trois royaumes voisins où régnaient rois et reines, princes et princesses, tous confrontés à des problèmes bien particuliers.
Il était une fois trois royaumes voisins où dans de merveilleux châteaux régnaient rois et reines, princes et princesses : un roi fornicateur et libertin, un autre captivé par un étrange animal, une reine obsédée par son désir d'enfant... Sorciers et fées, monstres redoutables, ogre et vieilles lavandières, saltimbanques et courtisans sont les héros de cette libre interprétation des célèbres contes de Giambattista Basile.
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"Tale of Tales (Le Conte des Contes) partage avec Gomorra (précédent film de Matteo Garonne sur la mafia napoli
"Tale of Tales (Le Conte des Contes) partage avec Gomorra (précédent film de Matteo Garonne sur la mafia napolitaine) une ambition foutraque, une narration éclatée au service d’un récit foisonnant. Sous la forme d’un conte dont plusieurs histoires s’entrecroisent, le réalisateur s’attaque à la mythologie (où nous retrouvons les sempiternels ogres, reines-sorcières, princesses et autres vagabonds) et évoque avec modernité les arcanes du pouvoir où se déploient des ego démesurés. Un pouvoir qui corrompt et qui rend ces despotes dénués de tout discernement, obnubilés par leurs obsessions. Car derrière l’aspect suranné de ces histoires que l’on se raconte, Matteo Garonne s’affirme une nouvelle fois comme un cinéaste satirique."
Guillaume Louradour"Dans Reality, Matteo Garrone avait déjà exploré la frontière située entre le réel et le
"Dans Reality, Matteo Garrone avait déjà exploré la frontière située entre le réel et le fantasme avec un personnage pris dans l’engrenage d’un show télévisé aliénant. Ce Conte des contes l’emmène un peu plus loin encore sur le terrain de la folie, tous ses personnages flirtent ici avec la déraison, la frustration, l’obsession. Mais c’est avec une tranquillité dans la mise en scène qu’il donne corps à ces êtres de papier. Le monstrueux est ici filmé à la lumière du jour, dans un décor naturaliste et somptueux où chaque pan de château ou de forêt trouve son relief et semble ainsi à portée de main. Les étoffes, tentures, les arbres ou le lichen des montagnes sont dotés d’un grain particulier et se font les décors subtils et inattendus de la démesure. On suit pas à pas, avec fascination, les errements de ces protagonistes hors norme et hors du temps : ils sont, face à la caméra, plus vrais et sensibles que nature. Il y a quelque chose de charnel dans cette fresque imaginaire, une présence marquante des corps souvent disgracieux qui dame le pion à l’artifice et l’outrance. Pour en faire l’expérience, encore faudra-t-il s’avancer quelques pas et ne pas rester en lisière du bois."
Anne-Claire Cieutat"Sur la construction du conte, le cinéaste réussit déjà l’exercice le plus délicat : trou
"Sur la construction du conte, le cinéaste réussit déjà l’exercice le plus délicat : trouver un équilibre entre la simplicité du récit qui se doit de rester accessible et la multiplication des détails qui le composent (péripéties, créatures, décors, etc…). Le film se révèle ainsi d’une belle richesse mais sans se montrer gourmand, ni même frileux. Avouons-le, on pense très souvent au cinéma de Fellini, aussi bien pour cette façon de combiner le tournage en studio (voir les scènes de la laverie ou du repaire de l’ogre) à la majesté des décors extérieurs (lesquels, pourtant réels, passent ici pour des lieux d’un autre monde grâce aux cadrages de Garrone) que pour la beauté hallucinante d’une production design à la Danilo Donati. De là viennent de nombreux plans dont la dimension picturale nous scotche la rétine."
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