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Lorsque son petit frère Charlie disparaît dans l'univers magique et animé des Playmobil, Marla se lance dans une quête hors du commun pour le retrouver !
Lorsque son petit frère Charlie disparaît dans l'univers magique et animé des Playmobil, Marla se lance dans une quête hors du commun pour le retrouver ! C'est le début d'une aventure pleine d'action et d'humour où Marla fera des rencontres inoubliables : un sympathique vendeur ambulant qui vit dans son food truck, un agent secret élégant et charismatique, un affectueux petit robot et une bonne fée fantasque seront autant de nouveaux amis qui l'aideront à échapper aux dangers qui la guettent.
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"Présenté en ouverture du Festival d’Annecy, le long-métrage de Lino DiSalvo, ancien superviseur de l’animation chez Disney (Raiponce, La R
"Présenté en ouverture du Festival d’Annecy, le long-métrage de Lino DiSalvo, ancien superviseur de l’animation chez Disney (Raiponce, La Reine des neiges), arrive en salles ce mercredi. Cette production hexagonale à gros budget - qui confirme le talent des Français (cocorico) dans le domaine de l’animation - se paye les services d’une kyrielle de stars. Kad Merad, Jérôme Commandeur, Jenifer et Franck Dubosc prêtent leur voix à un vendeur de bottes de foin magiques, un empereur romain sanguinaire, une bonne fée et un agent secret séducteur, quatre personnages que va croiser Marla, jeune fille à la recherche de son petit frère Charlie, disparu dans l’univers des jouets aux mains en forme de pinces.
DiSalvo emmène le spectateur dans son «monde de Narnia», traversant une multiplicité d’univers. Ainsi passe-t-on d’une bataille de Vikings au far-west des cow-boys avec un crochet par le monde des dinosaures ou la Rome antique… La succession de ces mondes rappelle la «façon dont les enfants jouent» passant d’un univers à un autre en un claquement de doigts, expliquait le réalisateur, qui n’a pas l’air d’avoir oublié sa jeunesse, lors de son passage à Annecy. Il ne semble pas avoir oublié ses dix-sept années au service de la firme aux grandes oreilles non plus, proposant des passages musicaux plutôt réussis.
Contrairement à son concurrent Lego, qui visait à la fois petits et grands, Playmobil a choisi son cœur de cible chez les écoliers. Nul doute que son imaginaire foisonnant, ravira les petits. Les adultes, eux, auront du mal à ne pas y déceler une publicité un peu longue pour les jouets en plastique, sorte de catalogue de Noël avant l’heure."
"Cinq ans après Emmet et ses copains LEGO qui criaient sur tous les toits que tout était super génial, et après plusieurs autres itérations
"Cinq ans après Emmet et ses copains LEGO qui criaient sur tous les toits que tout était super génial, et après plusieurs autres itérations sur grand écran d’où surgissaient notamment Batman et des ninjas, c’est au tour de son plus grand concurrent, par la taille et par la notoriété, de débarquer en salles. Et c’est d’abord avec son ton, bien plus enfantin, que PLAYMOBIL se différencie du long-métrage américain. Si l’on doit subir une ouverture en live action avec couleurs criardes et chansons guimauves nous ramenant à des heures peu glorieuses de Disney Channel, le film plonge ensuite dans l’animation, par un ressort scénaristique franchement chiche, et prend enfin tout son intérêt. Et surtout c’est à ce moment là que le slogan « En avant les histoires » retrouve son sens. Évitant le plus possible le méta et la référence pop à tout prix, PLAYMOBIL préfère nous balader dans un monde où tous les univers de la marque se côtoient avec une sorte de bienveillance et de fluidité bienvenues. La rigidité des personnages étant vite évacuée, le film se concentre sur une histoire balisée de frère et sœur séparés, de conducteur de food-truck un peu véreux (mais gentil) et d’agent secret presque trop parfait. L’ensemble aidé par un casting voix très enthousiaste. Si PLAYMOBIL n’est pas la bombe LEGO, il peut cependant se targuer de ne pas en être une pâle copie."
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