
Luis Miñarro : "Je produis les films que j'aimerais voir"
VIDEO | 2011, 6' | De Julio D. Wallovits (La Chaise/La Silla) à Manoel de Oliveira (Singularités d'une jeune fil...
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Il y a Perroquet et sa maîtresse, madame Catherine, morte à force d'excès ; il y a les trains qui passent, les bouteilles qui s'entrechoquent. Drôle de ville.
Dans un village près de la frontière espagnole, sous l'oeil du perroquet de Madame Catherine, disparue en laissant un petit magot, quelques hommes et femmes cherchent amour, amitié, fortune peut-être... et surtout quel sens donner à une vie qui pèse et qui, pourtant, passe trop vite. La solution : trinquer ? Le film a été soutenu par l'ACID lors de sa sortie en salle.
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"Les mains vides, le titre contient le film, assemblage troué et débordant de trop-plein – trop-plein d'amour universel, de confusion, d'ivr
"Les mains vides, le titre contient le film, assemblage troué et débordant de trop-plein – trop-plein d'amour universel, de confusion, d'ivresses répétées, de réjouissances, de liens qui n'en sont pas, qui se délitent. Qu'est-ce qui fait lien alors ? La circulation – et le spectateur aussi, invité à la fête, circule dans le film, il n'a que ça à faire."
Retrouvez le texte complet sur le site de l'ACID.
L'ACID est une association née en 1992 de la volonté de cinéastes de s'emparer des enjeux liés à la diffusion des films, à leurs inégalités d'exposition et d'accès aux programmateurs et spectateurs. Ils ont très tôt affirmé leur souhait d'aller échanger avec les publics et revendiqué l'inscription du cinéma indépendant dans l'action culturelle de proximité.
" Cela ne ressemble pratiquement à rien de connu (…) Douze personnages, une enquête d’auteur sur les mosaïques de la fiction, de l’imaginair
" Cela ne ressemble pratiquement à rien de connu (…) Douze personnages, une enquête d’auteur sur les mosaïques de la fiction, de l’imaginaire, de la mémoire collective, des figures enfouies dans le cerveau reptilien (…) C’est un mouvement et un surplace, un mystère et un éclat de rire, une stridence. (…) Il y a sans doute, entre bistrot et poudrière, garage et voie ferrée, un récit, et une logique dans le récit, mais cette logique est moins dans l’ordre du discours que dans celui de la germination (…) Sur le paradoxe géographique (être à la fois au bout du monde et dans un lieu de passage), les énigmes de contes et les angoisses modernes, le plastique des matériaux pauvres et l’or des flibustiers du rêve prolifèrent."
Jean-Michel Frodon" En réunissant des personnages un peu à côté de la plaque, burlesques ou désespérés, Marc Recha observe le monde par le petit bout de la lo
" En réunissant des personnages un peu à côté de la plaque, burlesques ou désespérés, Marc Recha observe le monde par le petit bout de la lorgnette et en retient les mouvements, les trafics, une vie qui se trame et se défait. Comme le voyageur, les trésors sont ici de passage. Le charme même du film est parfois fuyant, mais un talent collectif soutient cette chronique de la croisée des chemins, poétique comme une peinture naïve, et vaguement surréaliste. Des acteurs à la chef opératrice Hélène Louvart, chacun y a apporté sa touche avec un esprit libre."
Fréderic Strauss"... quelque chose comme le chant murmuré d’un désespoir sans remède. Mais Marc Recha n’a jamais fait dans l’exhibitionnisme des sentiments.
"... quelque chose comme le chant murmuré d’un désespoir sans remède. Mais Marc Recha n’a jamais fait dans l’exhibitionnisme des sentiments. Et l’humour n’est pas seulement pour lui, sans doute, la politesse du désespoir mais ce qui permet de le supporter. Dans Pau et son frère, l’apparition d’un fantôme sur la crête d’une montagne disait combien étaient fugaces les traces qu’un vivant pouvait laisser sur terre, de ses rires, de ses larmes, de ses amours. Ici, ce n’est pas d’un homme, d’un frère disparu dans la force de l’âge, qu’il s’agit, mais d’une petite communauté de frontière, de son art de vivre ensemble non sans mal."
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