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Dans un internat pour garçons, Christina et Nicole, respectivement épouse et maîtresse du directeur Michel Delasalle, s'associent afin d'assassiner celui-ci.
Dans une institution destinée à l'éducation des jeunes garçons, Christina et Nicole, respectivement épouse et maîtresse du directeur Michel Delasalle, s'associent afin d'assassiner l'homme qu'elles ont fini par haïr. Mais quelques jours après leur méfait, le corps de Michel disparaît...
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" Le jeu sado-masochiste entre Paul Meurisse et ses deux femmes est volontairement déphasé, mais, aujourd'hui, vaguement dépassé (d'autant
" Le jeu sado-masochiste entre Paul Meurisse et ses deux femmes est volontairement déphasé, mais, aujourd'hui, vaguement dépassé (d'autant que Véra Clouzot, faible du coeur dans l'histoire, est aussi une assez faible comédienne).
On retrouve, en revanche, le style de Clouzot dans la violence froide de certaines séquences. Dans ces couloirs sombres, inquiétants, où les morts s'évaporent, avant de ressusciter mystérieusement. Vanel et Signoret sont parfaits."
" ... Chaque genre, fût-ce le plus modeste, comme le policier ou le vaudeville, a sa noblesse et engendre sa catharsis dès l'instant qu'il
" ... Chaque genre, fût-ce le plus modeste, comme le policier ou le vaudeville, a sa noblesse et engendre sa catharsis dès l'instant qu'il est un genre vrai, c'est-à-dire qu'il a son style propre et que ce style est exactement accompli.
De tout ce qu'on peut admirer dans Les Diaboliques, je retiendrai deux exemples. Le premier relève de la construction dramatique. La clef qui nous est livrée dans les dernières secondes du film pourrait n'être, comme dans beaucoup de policiers où l'on s'est efforcé de tromper le spectateur jusqu'au bout, qu'une astuce peu vraisemblable, dont la faiblesse logique ou psychologique est rapidement escamotée par les commentaires du détective et le mot « fin ». Le spectateur à ce moment-là n'est plus très exigeant. On admirera au contraire ici, dans la solution du problème policier, à la fois sa simplicité et sa solidité rétroactive. Je veux dire qu'il ne se borne pas à résoudre l'imbroglio, mais qu'il lui donne un sens nouveau, c'est comme si un autre film renaissait de cette révélation.
J'ai dit aussi qu'il ne fallait pas chercher dans Les Diaboliques un drame psychologique ou une satire de mœurs. Les personnages sont volontairement typés comme les pièces d'un échiquier. Mais Clouzot ne s'est évidemment pas privé de tous les alibis réalistes de son univers particulier, et si ses personnages sont conventionnels, c'est dans une convention proposée par Clouzot et en tout cas insolite.
De cette distribution je distinguerai pourtant un personnage fort singulier et dont l'invention me paraît admirable : c'est celui du policier incarné par Charles Vanel. Il n'était guère commode de renouveler l'emploi. Je ne dirai pas la solution de Clouzot, mais le spectateur verra qu'il a su comment porter au carré le personnage traditionnel de l'inspecteur de police ainsi que son rôle dramatique, peut-être devrai-je dire plus exactement, pour rester dans les métaphores algébriques, qu'il l'a affecté du signe négatif dans l'équation policière : Maigret multiplié par — 1."
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