UniversCiné utilise des cookies afin de vous offrir une expérience utilisateur optimale.
En les acceptant vous nous permettez d’améliorer nos services, de mesurer notre audience, de personnaliser votre expérience et vous pourrez bénéficier des fonctionnalités relatives aux réseaux sociaux.
Vous pouvez personnaliser vos choix en cliquant sur « PERSONNALISER » et obtenir davantage d'informations en consultant notre politique de gestion des cookies.
This is a modal window.
Début de la fenêtre de dialogue. La touche d'échappement annulera et fermera la fenêtre.
Fin de la fenêtre de dialogue.
Une femme se retrouve seule dans un chalet en pleine forêt, séparée du monde par un mur invisible au-delà duquel toute vie semble s’être figée durant la nuit.
Une femme se retrouve seule dans un chalet en pleine forêt autrichienne, séparée du reste du monde par un mur invisible au-delà duquel toute vie semble s’être pétrifiée durant la nuit. Tel un moderne Robinson, elle organise sa survie en compagnie de quelques animaux familiers et s’engage dans une aventure humaine bouleversante.
Le lecteur n'est pas installé ?
Pour votre information, la lecture en mode hors-ligne n'est pas compatible avec le système d'exploitation Linux
" Catastrophe planétaire ? Métaphore de la condition féminine ? Ce film radical, magnifié par sa photo, pas
" Catastrophe planétaire ? Métaphore de la condition féminine ? Ce film radical, magnifié par sa photo, passe du fantastique à une réflexion sur l'animalité de l'humanité... Dans le rôle de ce Robinson féminin, avec un chien pour tout Vendredi, Martina Gedeck (La Vie des autres) est impressionnante, calme et guerrière, grande figure de nouvelle primitive."
Guillemette Odicino" Julian Roman Pölsler (...) adapte avec intelligence son livre de chevet, le roman homonyme publié en 1963 par Marlen Hau
" Julian Roman Pölsler (...) adapte avec intelligence son livre de chevet, le roman homonyme publié en 1963 par Marlen Haushofer (1920-1970), considéré par certains commentateurs comme l'un des plus grands livres de langue germanique. Il fallait un certain courage pour s'y attaquer, tant certains procédés conceptuels voyagent mal de la littérature au cinéma.
(...) Plaidoyer féministe, inquiétude écologique, ombre portée du nazisme ? Il faudrait [ne rejeter ni privilégier] aucune interprétation. Le plus sûr serait encore de parier sur la plus ancienne tradition. Celle qui, liant fatalement le sublime isolement des sommets au délire mélancolique de la pureté, part d'Obermann (1804), roman épistolaire d'Etienne Pivert de Senancour, traverse le romantisme, passe par les premiers rôles filmés de la future égérie nazie Leni Riefenstahl (La Montagne sacrée, 1926 ; L'Enfer blanc du Piz Palü, 1929 ; Tempête sur le mont Blanc, 1930), avant d'aboutir à L'Ame sœur (1985) du cinéaste suisse Freddy M. Murer, le plus beau film de montagne de l'histoire du cinéma. Sur ce chemin, Le Mur invisible est à marquer d'une pierre blanche."
" (...) le cinéaste allemand tient habilement le cap de son intrigue et surtout de son personnage qui va devoir composer, tel Ro
" (...) le cinéaste allemand tient habilement le cap de son intrigue et surtout de son personnage qui va devoir composer, tel Robinson Crusoé, avec ce micro-monde refermé sur lui-même. Esthétiquement, l'aspect S.F. naturaliste est également très impressionnant. Ainsi, ces plans où un vieux couple est figé de l'autre côté du mur et une voiture est encastrée dans le vide offrent des images saisissantes. Le Mur invisible est donc une belle surprise et, sans vous dévoiler les tenants et les aboutissants de l'intrigue, le récit assume jusqu'au bout sa part fantastique, tragique et psychanalytique. Une promesse tenue en somme et l'un des coups de coeur du mois de la rédaction !"
Thomas Baurez" Pölsler assume pleinement le choix de cette adaptation littéraire en construisant son récit sur les notes prises
" Pölsler assume pleinement le choix de cette adaptation littéraire en construisant son récit sur les notes prises par la protagoniste, dont la voix off rythme le temps du film et de l’histoire (...)
La force du film réside dans un questionnement assez subtil de notre condition humaine. On pense bien entendu à l’origine du monde, à l’idée même d’un monde nouveau à créer.
Sans prosélytisme, Le Mur invisible débouche presque naturellement sur un propos quasi-biblique, avec l’apparition dans le récit d’une vache et d’une chatte qui tomberont enceintes sans que l’on sache comment, immaculées conceptions renforçant la veine fantastique du récit. On pourrait voir également dans notre héroïne démiurgique la représentation humaine d’un Dieu s’octroyant le droit de vie ou de mort sur les êtres vivants qui l’entourent (...)
Subtilité toujours dans la place accordée à la question politique qu’implique un tel récit. Ce repli sur soi, bien qu’imposé au personnage, en dit également long sur les sociétés occidentales contemporaines (surtout en Europe centrale aujourd’hui), pour qui l’Étranger devient une menace grandissante bien que rarement fondée. Cette peur de l’autre jaillit ici dans une scène sidérante et horrifique, à travers l’apparition d’un homme, et de la réaction de défense qu’elle entraîne chez la femme. Ce mur invisible qui résonne dans notre esprit comme une frontière infranchissable, résonne également comme la source de problèmes ancestraux et modernes bien plus larges et universels.
Sous ses airs de fable philosophique et naturaliste, Le Mur invisible affiche la maîtrise d’un réalisateur qui signe un beau premier long-métrage de cinéma, sans aucune fausse note..."
"Le Mur invisible, premier film de Julian Roman Polsler d’après un roman célèbre de Marlen Haushofer, perme
"Le Mur invisible, premier film de Julian Roman Polsler d’après un roman célèbre de Marlen Haushofer, permet de faire une captivante expérience de la nature, de la solitude et de la conscience. (...)
Il y a quelque chose d’étrange et de vertigineux dans le silence absolu de la beauté du monde, sans âme qui vive. Dégagée du labeur quotidien, la jeune femme se sent absorbée dans une sorte d’anesthésie cosmique, une fusion avec la nature où se perdent les souvenirs et les pensées. Que devient la conscience dans un monde sans relation humaine ? (...)
On y songe encore longtemps."
"Pour l’essentiel, il s’agit d’un tour de force, tenir un long métrage avec un personnage unique (Martina Gede
"Pour l’essentiel, il s’agit d’un tour de force, tenir un long métrage avec un personnage unique (Martina Gedeck, l’héroïne de La Vie des autres), donc sans possibilité de vrai dialogue. Tel est le pari de ce premier film tiré du roman de Marlen Haushofer (chez Actes Sud), film qui emporte aussi la mise grâce à une photo digne des peintres de montagne. Une des bonnes surprises de la section « Panorama » au Festival de Berlin 2012."
Jean Roy, 13/03/2013"Des images somptueuses éblouissent cette fable écologique, imprégnée de mysticisme, qui témoigne d
"Des images somptueuses éblouissent cette fable écologique, imprégnée de mysticisme, qui témoigne de la toute-puissance de la nature. Martina Gedeck, dont le physique change à mesure qu’elle s’adapte à son environnement, est confrontée à l’inexplicable, mais s’accroche à la vie en dépit de son absurdité.
Un premier film poétique, inquiétant et habilement réalisé."
"C’est un peu comme si Robinson Crusoé se retrouvait prisonnier d’une boule à neige... mais sans les flocons
"C’est un peu comme si Robinson Crusoé se retrouvait prisonnier d’une boule à neige... mais sans les flocons. Il faut tout le talent de Martina Gedeck pour défendre ce postulat absurde (...).
Voici un film qui a le mérite de ne ressembler à aucun autre. C’est rarissime."
Nos offres d'abonnement
BASIQUE ETUDIANTS
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 4,99€ /mois
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 6,99€ /mois
PREMIUM
9 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
15 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
*A l'exception des films signalés
BASIQUE ETUDIANTS
49 | ,99€ |
/an |
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
69 | ,99€ |
pour 1 an |
PREMIUM
99 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
175 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
Vous devrez fournir un justificatif de scolarité (carte étudiante ou certificat, en .pdf ou .jpg).
UniversCiné se réserve le droit d'annuler l'abonnement sans possibilité de remboursement si la pièce
jointe envoyée n'est pas conforme.
Offre valable 12 mois à partir de la date de l'abonnement
_TITLE