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En Mandchourie, dans les années 1930, un chasseur de primes, un bandit de grands chemins et un tueur à gages se lancent à la poursuite d'un trésor.
En Mandchourie, dans les années 1930, Park Do-won, un chasseur de primes surnommé le Bon, voyage à bord d'un train attaqué par Yoon Tae-goo, un bandit de grands chemins surnommé quant à lui le Cinglé. Ce dernier ignore qu'à bord du convoi se trouve une carte au trésor, objet de toutes les convoitises. Elle est notamment recherchée par Park Chang-yi, un tueur aussi infaillible qu'impitoyable, surnommé la Brute. Pour couronner le tout, l'armée japonaise et des bandits chinois s'en mêlent très rapidement... Film hommage au western de Sergio Leone (Le Bon, la brute et le truand), Le Bon, la brute, le cinglé est à ce jour le film le plus cher du l'histoire du cinéma coréen. Il a par ailleurs été projeté hors compétition au Festival de Cannes en 2008.
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"Le titre l’indique. C’est clair, affiché : il s’agit quasiment d’une adaptation du Bon, la Brute et le Truand (1968), dernier volet de la t
"Le titre l’indique. C’est clair, affiché : il s’agit quasiment d’une adaptation du Bon, la Brute et le Truand (1968), dernier volet de la trilogie western de Sergio Leone avec Clint Eastwood. Quasiment, car on est loin du remake. Le Bon, la Brute et le Cinglé est un hybride absolu, un chaudron de genres d’une audace rare. Avant tout un film de poursuite pétaradant, picaresque et ludique, qui remue de fond en comble le cinéma d’arts martiaux asiatique. (...)"
Retrouvez l'intégralité de la critique sur Les Inrockuptibles.
"(...) La réussite du film doit beaucoup à l’alchimie particulière du un trio d’acteurs iconiques qui renvoient à leurs modèles de 1966 sans
"(...) La réussite du film doit beaucoup à l’alchimie particulière du un trio d’acteurs iconiques qui renvoient à leurs modèles de 1966 sans les singer aucunement. Si Woo-sung Jung dans la peau du « Bon » ne réussira pas à faire oublier le grand Clint, malgré une prestation honorable, c’est le duo Byung-hun Lee (la « Brute ») et Kang-Ho Song (le « Cinglé ») qui emportent immédiatement l’adhésion. Le premier, en en entrant comme dans un gant dans le costume du truand racé et profilé comme une arme de combat, fait grandement pensé à Alain Delon dans Soleil Rouge, mais avec une dimension de psychopathe qui le rend bien plus dangereux. Mais c’est Kang-Ho Song qui explose littéralement l’écran, justifiant tout le bien que l’on pensait de lui depuis Memories of murder et The Host. Excellent dans son rôle de trublion en perpétuel mouvement, tel un personnage de cartoon, il gagne un relief particulier au fil de l’aventure, jouant toujours sur la corde raide en dosant cocasserie et accès de violence : la scène de la fumerie d’opium étant un parfait exemple. (...)"
"(...) Avec l’air de ne pas y toucher, Kim Jee-woon continue de soigner son image et sa mise en scène, avec notamment un grain et une photog
"(...) Avec l’air de ne pas y toucher, Kim Jee-woon continue de soigner son image et sa mise en scène, avec notamment un grain et une photographie somptueux – mais Le Bon, la brute et le cinglé représente un pas en avant dans la filmographie de son réalisateur, en cela que c’est la première fois qu’il ne privilégie pas la stylisation de son image au détriment du reste. Car au centre du film, se situe avant tout son scénario complexe et foutraque, qui occupe l’écran à lui seul : poursuites, révélations diverses, batailles homériques – on nage en plein pulp avec une jubilation sans partage. (...)"
"(...) Kim Jee-Woon, le touche-à-tout, après le très angoissant Deux sœurs ou encore le remarquable polar A Bittersweet Life, confirme dans
"(...) Kim Jee-Woon, le touche-à-tout, après le très angoissant Deux sœurs ou encore le remarquable polar A Bittersweet Life, confirme dans un nouveau domaine tout le bien que l’on pensait de lui. Il réussit le mélange des genres tout en gardant son identité propre de cinéaste coréen. Mieux, suivant la mondialisation des genres, il parvient à rendre son spectacle aussi divertissant pour le spectateur asiatique que pour le public occidental qui prendra plaisir à voir et à revoir cette fantaisie devenue internationale par la seule force de son talent."
"(...) Pas de doute, on en prend plein les yeux, et plein les oreilles. L'auteur profite du chaos qui régnait sur la Mandchourie de l'époque
"(...) Pas de doute, on en prend plein les yeux, et plein les oreilles. L'auteur profite du chaos qui régnait sur la Mandchourie de l'époque pour construire une intrigue foisonnante d'où surgissent une foultitude de trames secondaires, chacune apportant avec elle son lot de nouveaux personnages, depuis les soldats de l'armée japonaise jusqu'aux grappes de bandits coréens, mongols, russes et chinois. (...)"
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