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Après s'être évadé de plusieurs prison, Frank Morris est transféré au célèbre pénitencier d'Alcatraz, et prépare une nouvelle évasion dans les moindres détails.
Frank Morris s'est évadé de plusieurs prisons. En 1960, il est écroué et transféré au célèbre pénitencier d'Alcatraz construit sur un piton rocheux face à la côte. Il tente une nouvelle fois, avec deux complices, de s'évader de la prison la plus surveillée des États-Unis.
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Avec ce film d’hommes (on aperçoit juste brièvement deux femmes au parloir), Don Siegel, fort de son expérience e
Avec ce film d’hommes (on aperçoit juste brièvement deux femmes au parloir), Don Siegel, fort de son expérience et de la collaboration de son acteur fétiche, nous propose une œuvre solide, bien jouée, qui nous tient en haleine jusqu’à l’image finale.
Retrouvez la critique complète ici.
Fabrice PrieurDon Siegel n’explique rien, il montre. Tout dans L’Évadé d’Alcatraz est volontairement froid. Dur.
Don Siegel n’explique rien, il montre. Tout dans L’Évadé d’Alcatraz est volontairement froid. Dur. Sec. (...) Il sait, d’un plan, définir un « méchant », faire naître en une seule séquence une angoisse sourde autour d’un héros négatif (Patrick McGoohan, doucereux directeur de prison). Le montage, incisif et brutal, accentue encore un côté dépouillé, que parachève Clint Eastwood, comédien atone s’il en est.
Retrouvez la critique complète ici.
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