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Ange est un comédien raté. Alors qu'il rejoint Concepcion, espagnole et comme lui, comédienne, il tombe au beau milieu d'un dîner de vedettes de cinéma...
Ange rate un casting déterminant pour sa carrière. Effondré, il va retrouver Concepcion, dans son appartement. Il vient de la rencontrer. Elle a 30 ans, elle est espagnole et, comme lui, elle est comédienne. Ce soir-là, à sa grande surprise, il tombe au beau milieu d'un dîner de vedettes de cinéma. Des vraies. Médusé, déboussolé, Ange se lance avec Concepcion dans une prise d'otages improvisée.
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" Changeant de cap, le réalisateur de l’émouvant Bye Bye joue pour son troisième film la carte de la dérision. Découvert avec Pigalle, plo
" Changeant de cap, le réalisateur de l’émouvant Bye Bye joue pour son troisième film la carte de la dérision.
Découvert avec Pigalle, plongée terrifiante, un peu malsaine, dans l’univers de la drogue et des travestis, Karim Didri avait séduit sans réserves avec son deuxième film, Bye Bye, histoire de deux frères dans la misère marseillaise, constat des ravages du racisme et de l’exclusion. Ce troisième film parle encore de laissés-pour-compte. Mais, changeant de cap en jouant l’humour grinçant, il laisse partagé (...)
Nous sommes en pleine romance de carton-pâte, couleur dérision et tendresse, sous les toits de Paris. Puis le film rose nuance électrique vire au noir. Ange « pète les plombs », comme on dit jusque dans les hautes sphères politiciennes (...)
L’idée est amusante, et la deuxième moitié du film, d’abord, surprend agréablement. Les stars (chacune joue son propre rôle) réagissent en fonction de ce que l’on peut deviner de leur caractère. A la fois gênées et compatissantes puis, de plus en plus, inquiètes. Des vérités s’échangent, sur le métier, la chance, le pouvoir. Mais la plaisanterie, et la séquence, devient longue, pour le spectateur aussi.
Le film, hybride, tient plus du canular que de la charge. Il est toutefois presque sauvé par deux comédiens étonnants, Philippe Ambrosini, un fidèle de Dridi, qui campe un « Ange » tout à fait convaincant, et l’irrésistilbe Rossy de Palma, la brune au nez pas possible des films d’Almodovar, qui donne à ce scénario trop lourd pour être vraiment drôle une peu de la dimension loufoque dont il aurait eu besoin davantage encore pour convaincre tout à fait... "
" Hors-jeu suit les étapes d'une lutte tragi-comique entre la croyance individuelle et l’incrédulité collective à travers la mise en perspe
" Hors-jeu suit les étapes d'une lutte tragi-comique entre la croyance individuelle et l’incrédulité collective à travers la mise en perspective d’une situation fïctionnelle donnée, déclinée d’un espace à l’autre, de la vérité à l’illusion. Ça démarre sur un malentendu mû en intime conviction.
La morale devrait être imparable, elle mine Hors-jeu de l’intérieur. Ange et son amie ont peut-être atteint leur rêve (jouer Bonnie and Clyde), Dombasle, Bruel et compagnie n'en ont pas moins glané quelques répliques, en grands professionnels indemnisés. Bref, au lieu de revendiquer la chance pour tous, le film de Dridi finit par se conforter dans la politique regrettable et frileuse du « chacun chez soi ». "
" Ils se situent en-dehors. Karim Dridi, auteur et réalisateur d'Hors-Jeu, de par le choix de son titre, de son sujet et de la façon de le
" Ils se situent en-dehors. Karim Dridi, auteur et réalisateur d'Hors-Jeu, de par le choix de son titre, de son sujet et de la façon de le filmer. Laury Granier, à cause de la construction, du montage et des idées dépeintes dans La Momie à mi-mots. Ils sont de la même génération. Trentenaires tous les deux. Karim est né à Tunis, est autodidacte et, après le magnifique Pigal le, suivi d'un Bye-Bye tendre et amer, il présente avec Hors-Jeu son troisième opus (...)
« Pigalle et Bye-Bye s'orientaient déjci sur l'idée d'une Jus ion, entre un réalisme pur et dur et une Jiction onirique. Avec Hors-Jeu, je pense avoir franchi un cap dans cette voie » précise Karim Dridi (...)
Son hors-jeu le fait sortir des conventions du théâtre, mais aussi de celles de la vie : les déconvenues ne sauraient déranger les convenances. Un salon des beaux quartiers ne se prête pas à une représentation de saltimbanques : le gratin sait depuis toujours comment rester au-dessus des bas morceaux. Seule la blonde Arielle, toujours tellement elle-même en bourgeoise élégamment superbe, distillant les mots comme se jouant des situations, pouvait parcourir ce drame et l'éclairer, à la manière de la sublime Carolyn Carlson parmi les figures de pierre ou les petits enfants du jardin. Enchanteresses? Probablement. L'une parle et l'autre pas. Elles ne font que passer dans le décor choisi par leurs créateurs, et possèdent l'art de charmer leurs spectateurs. Et de leur offrir un peu de rêve. "
" Au football, quand l’arbitre siffle un hors-jeu, tout s'arrête : en une seconde, la réussite se transforme en échec, le but devient inacc
" Au football, quand l’arbitre siffle un hors-jeu, tout s'arrête : en une seconde, la réussite se transforme en échec, le but devient inaccessible. La vie est pleine de ces «hors-jeu»... Pour Ange, le héros du film de Karim Dridi ( Pigalle, Bye bye... ), c’est son destin qui bascule sur un faux pas : à 35 ans, il rêve d’être comédien, mais vit de petits boulots. Dans son quartier, tout le monde l'aime mais personne ne croit plus à sa vocation. (...)
Si la première partie, qui parle de la marginalité «ordinaire» d'un comédien au chômage, est assez réaliste, après la prise d’otages, le film bascule dans l’étrange. Le ton est drôle et humain, la réalisation originale et tonique. Malgré l’autoparodie des acteurs, la seconde partie traîne un peu en longueur, mais raconte parfaitement comment un homme craque parce que les circonstances - lui-même, la société ? - le mettent hors-jeu. "
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