
Thomas Lilti : " Je voulais filmer des humanités "
Qui d'autre qu'un médecin était mieux placé pour réaliser ce film ? La connaissance du réalisateur de cet univer...
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Benjamin va devenir un grand médecin, il en est certain. Mais pour son premier stage d’interne dans le service de son père, rien ne se passe comme prévu...
Benjamin va devenir un grand médecin, il en est certain. Mais pour son premier stage d’interne, rien ne se passe comme prévu. La pratique se révèle plus rude que la théorie et son co-interne, Abdel, est un médecin étranger plus expérimenté que lui... Benjamin va se confronter brutalement à ses limites, à ses peurs, celles de ses patients, des familles, des médecins, et du personnel...
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" Une comédie acide sur les désillusions d'un jeune interne dans un hôpital en crise. Précis, romanesque
" Une comédie acide sur les désillusions d'un jeune interne dans un hôpital en crise. Précis, romanesque et solidement interprété. (...) Le film trouve la bonne distance pour décrire l'hôpital comme une microsociété de castes, où des médecins étrangers, sans cesse plus nombreux, sont exploités par leurs collègues français. Où le personnel soignant passe plus de temps à remplir des paperasses qu'à s'occuper des malades. Et où l'absence de lits conduit une chef de service (Marianne Denicourt, formidable) à prendre des décisions inhumaines."
Samuel Douhaire" Pas de superhéros du scalpel donc ni de Sherlock Holmes du diagnostic dans le deuxième film de Thomas Lilti, médecin de formation qu
" Pas de superhéros du scalpel donc ni de Sherlock Holmes du diagnostic dans le deuxième film de Thomas Lilti, médecin de formation qui s’est inspiré de ses années d’internat pour livrer l’état des lieux d’un secteur qu’il connaît bien. Et le constat fait un peu froid dans le dos, entre les problèmes de matériel, défectueux ou manquant, le surmenage du personnel soignant, le cloisonnement des services au détriment des patients...
Le documentaire se mêle à la fiction comme aux plus belles heures de la série Urgences, avec une caméra sans cesse en mouvement, des acteurs investis, des dialogues précis, des enjeux dramatiques à chaque coin de brancard. Sous le couvert d’un film initiatique et d’émancipation (pas forcément ce qu’il y a de plus réussi), Hippocrate pousse un cri d’alarme à propos de ce pilier de la République qu’est l’accès gratuit aux soins, menacé par le corporatisme mesquin et la méritocratie à la carte. Le personnage le plus intéressant de l’histoire n’est-il pas Abdel (formidable Reda Kateb), ce médecin étranger obligé de repasser par l’internat pour obtenir son équivalence ? D’abord arrogant, mais toujours sincère et droit, produit de la mondialisation, il finit par incarner le futur d’une institution malade obligée d’inciser ses fondamentaux, de s’ouvrir littéralement aux autres pour demeurer opérable. Et opérante."
" Thomas Lilti s’est évidemment nourri de son expérience (comme généraliste), d’anecdotes pers
" Thomas Lilti s’est évidemment nourri de son expérience (comme généraliste), d’anecdotes personnelles ou de témoignages au plus près du terrain. Sont ainsi passées en revue, avec une justesse qu’on ne saurait reprocher au cinéaste, toutes les tares de l’institution hospitalière française, de la vétusté du matériel à l’épuisement des troupes, en passant par le recours à une main-d’œuvre étrangère peu considérée (...)
Par une mise en scène fonctionnelle et inspirée, et grâce à un casting excellent (notamment les personnages secondaires), Lilti offre le portrait ambivalent d’un univers aseptisé seulement en surface, où romanesque et comique ne cessent de poindre entre les coutures du film-dossier."
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