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Dans les années 60, Selma travaille dans une usine métallurgique pour aider son fils de 12 ans. Mais une maladie grave risque de la rendre aveugle...
Selma, émigrée tchèque et mère célibataire, travaille dans une usine de l' Amérique profonde. Elle trouve son salut dans sa passion pour la musique, spécialement les chansons et les danses des grandes comédies musicales hollywoodiennes. Selma garde un lourd secret : elle perd la vue et son fils Gene connaîtra le même sort sauf si elle réussit à mettre assez d'argent de côté pour lui payer une opération. Quand un voisin aux abois accuse à tort Selma d'avoir volé ses économies, le drame de sa vie s'intensifie... Palme d'or et prix d'interprétation pour Björk au Festival de Cannes 2000.
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"Le cinéma du grand Lars von Trier est autant capable du pire comme du meilleur. Car il s’agit d’un réalisate
"Le cinéma du grand Lars von Trier est autant capable du pire comme du meilleur. Car il s’agit d’un réalisateur à la fois éclectique, ambitieux, dévoré par ses contradictions morales et esthétiques. Ce film Dancer in the Dark lui permet de renouer avec son appétence au tragique déiste, déjà très caractéristique de Breaking the Waves, quatre ans plus tôt. Le fil du long métrage, qui alterne le récit filmique en lui-même et des clips musicaux, très brillants, est porté par la comédienne, et surtout l’immense chanteuse, Björk. Elle interprète la jeune Selma, dont le destin de mère célibataire sera celui du dévouement pour son fils, risquant la perte de la vue, jusqu’à la mort. Le rôle est rêvé pour la comédienne, parce qu’il lui permet de mettre en musique des morceaux de sa propre composition, et de s’impliquer dans une histoire, tragique et essentielle, qui la hisse à un niveau presque sacrificiel. Tout est injuste dans cet univers où les femmes n’ont pas le pourvoir de décider de leur propre destin, où les mères célibataires et pauvres sont rompues à l’exclusion, où le handicap est rejeté et où la justice condamne de façon arbitraire. La sentence n’est pas la réclusion à perpétuité. Il s’agit ici du pire châtiment, la peine de mort, et la jeune mère témoigne, en la circonstance, d’une dévotion christique, pour mieux dénoncer l’injustice qui accable encore certains États américains."
Laurent Cambon"Mélodrame de toujours et musical d'aujourd'hui, ce film allie intrigue sulpicienne à la Griffith et expér
"Mélodrame de toujours et musical d'aujourd'hui, ce film allie intrigue sulpicienne à la Griffith et expérimentation formelle contemporaine. Björk ? Exceptionnelle !La Palme d'or 2000 aura fait couler beaucoup d'encre : s'agit-il d'un mélodrame au premier degré ou d'une déconstruction abstraite et cynique ? D'une comédie musicale référencée ou d'une tentative expérimentale (cent caméras DV filmaient simultanément les scènes de danse) ? De terrorisme psychologique ou de compassion trop chrétienne ? Von Trier a-t-il torturé Björk par sadisme ou pour obtenir d'elle une performance hors du commun ? Tout cela est un peu vrai, en même temps. Comme souvent (cf. la plaisanterie Dogme), Lars von Trier s'avère non seulement un grand cinéaste, mais un as du marketing, faisant feu absolument de tout bois : voir la façon dont il médiatise sa phobie de l'avion pour faire de son arrivée à Cannes un événement en soi. Ici, il fait également preuve d'un génie du casting : Deneuve dans un rôle prévu pour une grosse Black apporte au film une dimension patrimoniale, Björk est utilisée au mieux de ses possibilités, David Morse rejoint Robert Mitchum au panthéon des grands méchants du cinéma... Avec toute la défiance du monde, on finit par se faire avoir par un mélo que les scènes musicales ne rendent que plus poignant. "
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