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Qui est vraiment Anna ? Un top model ? Une tueuse ? Un flic avide ? Un agent double ? Ou tout simplement une redoutable joueuse d’échecs ?
Les Matriochka sont des poupées russes qui s’emboîtent les unes dans les autres. Chaque poupée en cache une autre. Anna est une jolie femme de 24 ans, mais qui est-elle vraiment et combien de femmes se cachent en elle ? Est-ce une simple vendeuse de poupées sur le marché de Moscou ? Un top model qui défile à Paris ? Une tueuse qui assassine Milan ? Un flic corrompu ? Un agent double ? Ou tout simplement une redoutable joueuse d’échecs ? Il faudra attendre la fin de la partie pour le savoir...
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"Après le demi-échec de Valérian, Anna, le nouveau Luc Besson, devrait trouver son public. Mê
"Après le demi-échec de Valérian, Anna, le nouveau Luc Besson, devrait trouver son public. Même s’il lorgne du côté de son Nikita de 1990 et de Red Sparow (Francis Lawrence) sorti l’an dernier, le réalisateur français le plus international réalise un thriller efficace au féminin.
C’est l’accroche publicitaire du film. Anna est tour à tour vendeuse sur un marché, top model, amoureuse, tueuse… Au service du KGB, elle revêt tous les avatars pour mener ses missions à travers le monde. Jusqu’à ce que la manipulée devienne manipulatrice pour sortir de son guêpier.
Luc Besson préfère les héroïnes. Nikita, Liloo dans Le Cinquième élément, Lucy… Maintenant Anna. Trois de ses titres portent un prénom féminin. Une trilogie ? Dommage que son nouveau film rappelle beaucoup Nikita en reprenant au passage des éléments de Red Sparow. Il refait donc un thriller. Bien réalisé, mais "pompé". Cela aurait été un western, Besson aurait abordé tous les genres majeurs au féminin après le thriller et la S-F (fantastique). Dommage qu'il rate le coche.
(...) Son atout majeur est Thierry Arbogast, son directeur de la photographie depuis Nikita en 1990. Un des meilleurs "chef-op" mondiaux. Toujours écran large (scope), cadrée au millimètre, éclairée au photon, l’image valorise l’impact visuel au détriment du sens. Emballée dans un montage au cordeau, par l’habitué de la maison Julien Rey, cela s’appelle l’efficacité. Avertissement : Anna tue beaucoup. Mais on reste propre. Face à trente tueurs dans un couloir, elle les abat tous, dans de jolies chorégraphies, sorties d’un jeu vidéo.
Avec la découverte de Sasha Luss (Anna) dans une performance très physique, et son action constante, le film vaut surtout par la présence de Helen Mirren (The Queen). Méconnaissable, elle s’amuse dans son rôle de ponte du KGB, implacable et imprévisible. Elle est visiblement ravie de participer à un film parfait pour l’été. Spectaculaire et distrayant."
"Vous connaissez l’histoire par cœur : une jeune femme, jouée par une actrice correspondant parfaitement aux canons
"Vous connaissez l’histoire par cœur : une jeune femme, jouée par une actrice correspondant parfaitement aux canons de beauté des photographies de mode (sex-symbol ou mannequin), se retrouve dans une situation aussi incroyable que délicate, dont elle se sortira avec l’appui de ses poings, de ses pieds et de diverses armes létales, tout en surprenant son partenaire masculin, plus ou moins secrètement amoureux. Après Nikita, Leeloo (du Cinquième Élément) ou encore Angel-A, please welcome Anna, dernière recrue de l’écurie Besson pour reconversion de mannequins vers le cinéma. Interprétée par la Russe Sasha Luss (Model of the Year 2013 pour Glamour Russia), dont c’est le premier rôle au cinéma après une performance en motion capture dans le Valérian du même Besson, Anna est une super espionne. Une espionne plutôt tendance James Bond que Bureau des légendes – née en Russie dans une grande pauvreté, devenue propriété du KGB (nous sommes dans les années 1990, contrairement à ce que les écrans plats, les clés USB et 85 % des éléments du décor semblent nous faire croire) et prête à tout pour retrouver sa liberté.
S’il fallait faire une analyse factuelle du film, on retiendrait des défauts nombreux : anachronismes, impressions de déjà-vu, invraisemblances scénaristiques… Mais il serait malhonnête de chercher dans un film siglé Luc Besson (car, pour ses productions comme ses réalisations, c’est davantage une marque, la promesse d’un produit conforme aux attentes, répondant à un certain cahier des charges) réalisme ou vraisemblance. Tant qu’elles ne perturbent pas la bonne compréhension du récit, ces simplifications scénaristiques et visuelles ne sont pas bien graves. Et avec Anna, on les excuse facilement. Non seulement l’histoire est limpide, mais elle n’en n’est pas moins surprenante (jouant allègrement de la bonne vieille recette flash-back/flash-forward) et mise en scène avec un sens aigu du rythme. Alors qu’Europacorp, navire amiral de Luc Besson, est en difficulté financière, ce nouveau film produit par la société fondée par le réalisateur fait honneur à sa maison, rappelant sa vieille ambition de faire en France du cinéma populaire à grand spectacle capable de rivaliser avec les productions américaines de qualité. Un pari audacieux, aux résultats parfois décevants (Valérian, Malavida…), mais qu’Anna réussit haut la main. On n’en demande pas plus."
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