A travers six histoires qui s'entrecroisent, "il n'y avait pas le désir de faire le portrait d'une génération, et encore moins l'envie d'être exhaustif, explique le réalisateur de Nos vies heureuses. Il ne s'agissait pas de surfer sur une actualité, mais de témoigner de choses profondes... La foi, l'engagement, la quête d'identité..."
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Jacques Maillot : "Aller au bout de chaque histoire..."