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Roy Andersson, des pigeons, des singes, des fourmis et des hommes...

VIDEO | 2015, 10' | Troisième et ultime volet de la Trilogie des vivants du cinéaste suédois, Un Pigeon perché sur une branche philosophait sur l'existence est construit en 39 plans séquences. 39 scènes picturales comme autant de tableaux de la petite tragi-comédie humaine. Les "vivants" de Roy Andersson, blancs comme des cadavres, continuent d'épingler avec humour l'égoïsme et la solitude de notre société contemporaine. Nihiliste et misanthrope, le Roy ? Pas du tout, il nous parle d'espoir, des Évangiles et des fourmis.


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